1. Le Vieil Homme et la Mère


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, couleurs, vacances, plage, sauna, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... métro tout blond.
    
    Toujours couché sur le dos, la moitié du corps d’Elodie me ventouse et je lui enlève son coquin petit tissu rouge en dentelles. Mes yeux comme mes mains ont enfin accès au recoin le plus secret de l’anatomie que m’exhibe Elodie dans une totale absence de pudeur : ses deux fesses, incroyablement rondes, souples et fermes, recouvertes d’une peau au satin veloutée. Je les idolâtre et veux les honorer autant avec ma bouche impérieusement gourmande qu’avec mes mains. J’ai mis Elodie à plat ventre et je lui ouvre la raie pour embrasser son macaron central, bien plissé, bien fermé, bien contractile sous les effets de ma langue qui veut le pénétrer comme un petit vi… cieux.
    
    — Elodie chérie, tu sais, je ne te dirai jamais assez combien je jouis lorsque tu me permets, comme cette nuit, de faire de l’alpinisme fessier sur tes deux montagnes. Il est devenu mon sport favori. J’y resterais camper à leurs sommets la nuit entière.
    — Chéri, j’en suis ravie et j’adore ça, c’est divinement bon… Mais je ne vous ferai qu’un reproche, c’est de manger d’abord le chocolat avant la tarte à la fraise !
    
    L’appel est évident. Je dois quitter le macaron pour honorer la chatte. Tarte à la fraise ? C’est la vérité même, la comparaison la plus réaliste, mais aussi la plus poétique pour les yeux, la plus gastronomique pour ma bouche, la plus vibratile pour mes doigts. Lorsque je lui écarte les deux grandes lèvres, c’est une oasis de chairs roses et humides que je découvre. Sans ...
    ... tarder, ma langue et mes lèvres viennent butiner ce fruit au goût sucré qui s’humidifie de secrétions venues de son temple central – j’ai horreur du mot « con »… et « vagin », comme « vulve », c’est trop anatomique, trop médical… – il manque l’équivalent féminin des mots « bite », « queue » ou « zézette » la cinquantaine d’autres pour intituler une verge, un pénis ! – pour évoquer cette « fente », cette « motte », cette « cramouille ». Quant à la pittoresque « foufoune », pour moi, c’est « La Naissance du Monde » de Courbet, l’évocation d’un bas-ventre foisonnant d’une crinière triangulaire, qui le recouvre comme une forêt vierge, quasiment du nombril, jusqu’au coccyx. Finalement, je vais garder la « chatte » pour ce chapitre, puisqu’Elodie est une habituée du métro et de son ticket chic-et-choc.
    
    Sa chatte ? Un gouffre dont ma langue ou mon index, lorsqu’ils s’y infiltrent, n’atteignent pas le fond. Cette oasis a son palmier : le clitoris, ce bouton hypersensible qui, avec une lenteur désespérante, fait attendre trop longtemps la libération de sa tunique pour se dresser haut et fier sous le ticket de métro. Il attend la caresse de la pulpe d’un pouce ou de l’index, l’aspiration de lèvres avides, le ballet d’une langue pointue et agile qui tourne autour de lui sur un rythme de fandango et enfin la jouissance foudroyante dans quelques spasmes libérateurs avant qu’un gros dard bien membré, juché sur deux grosses couilles, vienne se planter, comme on dit à Douarnenez, raide-dur ...
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