1. Le Vieil Homme et la Mère


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, couleurs, vacances, plage, sauna, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... dans le penn-à-dréon, aux tréfonds d’une chatte largement ouverte à la conquête de cette ultime consécration de l’essence même de la femme, le point G dont l’excitation seule dévastera divinement une Elodie s’écroulant au terme d’une interminable série de spasmes orgasmiques.
    
    Je compte faire jouir Elodie avec ma bouche. Je vais le faire avec ma langue, je vais le faire avec mes doigts. Reste, en cette seconde cruciale LA question qui, ouvertement ou en secret, nous mine, Elodie encore plus que moi : « Va-t-il pouvoir ? … Vais-je pouvoir ? ».
    
    Car, l’achèvement qu’elle recherche, le seul qui compte à ses yeux de femme trentenaire en pleine maturité sexuelle, ne pourra passer que par la conquête du fond de la grotte de sa chatte par ma bite, jadis 18 centimètres en érection au temps de mes matins triomphant. Mais qu’est-elle aujourd’hui ? Après le massacre vasculo-nerveux chirurgical qui a exigé le traitement radical d’un mauvais cancer vésico-prostatique, il y a quatre ans et demi, certes, je suis encore vivant, mais dans quel état ! Que puis-je faire réellement, moi qui dois jouer le rôle de l’homme avec un grand H ? Rien d’autre que me livrer, corps et âme, à la science érotique infuse d’Elodie. Normalement, l’homme doit chauffer sa partenaire pour la rendre accueillante. Dans notre cas, c’est l’inverse, elle seule peut faire monter la température. Elle l’a compris, et sans aucune réticence, une fois totalement nue, qu’elle me fait me coucher sur le dos à côté d’elle. ...
    ... Sans attendre, elle se redresse pour immédiatement se lancer à la conquête de l’Everest du soir. Elle a les mêmes armes que moi : sa bouche, sa langue, ses mains et ses doigts. À elle de jouer. Je me livre à elle sans condition ni réserve. Pour une saturnale au sommet du Mont-Chauve !
    
    D’une caresse enveloppante, elle masse mes couilles, outres plissées presque vides, dessine quelques arabesques autour de mon vit et, pressant un sein entre ses doigts, vient en apposer le téton sur mon gland. Elle le pousse, comme pour l’introduire dans mon méat. Je reste toujours flasque ! Alors elle se rebelle, s’accroupit au-dessus de moi, prend ma virilité, la glisse entre ses obus qu’elle presse en s’agitant d’avant en arrière. Ce contact est divin, je glisse dans un étui de velours. Je la laisse s’agiter, ses cheveux et sa poitrine se balancent au rythme de sa danse. Mais si la sensation est là, la réaction n’y est pas ! Elle s’en rend compte, se recule, s’incline et saisit entre ces lèvres ce qui devrait faire de moi un homme. Sa langue en dessine les contours, en taquine les aspérités, en lape les parois. Puis, plus énergiquement, elle m’avale, me recrache à plusieurs reprises. Je sens monter en moi une douce sensation : si je reste mou, je l’abreuve enfin d’un peu de liquide séminal qui me procure un ersatz de jouissance. J’en exagère l’effet par de petits cris orgasmiques. Elle se relève alors et me tire la langue : mon méfait s’y étale et la fait luire. Elle avale le tout. Je me ...
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