Le Vieil Homme et la Mère
Datte: 02/06/2023,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
vacances,
plage,
sauna,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe
... J’adore de Dior et des senteurs méditerranéennes.
Nous arrivons ainsi, enlacés, jusqu’à son lit. Tout de suite, très habilement, elle expédie ses sandales jusqu’à la porte de la salle de bains pour se lover encore plus au creux de mon épaule. Après l’avoir vue nue à son insu, je peux maintenant vraiment la toucher. Je mets mes deux mains jointes autour de sa nuque, afin que ma bouche, les lèvres en cul-de-poule, se glisse dans la conque de son oreille droite. Je lui claque un gros baiser sonore et insistant, puis j’insinue ma langue dans son conduit auditif pour la faire frissonner davantage. Elle se tortille un long moment, gémit, puis elle change de position pour m’offrir l’autre oreille. C’est tout son cou maintenant qui appelle mes baisers. Je les lui dédicace de plus en plus mouillés. Ensuite, je l’embrasse sur la bouche, insinue ma langue entre ses lèvres en explorant les contours de ses dents, jusqu’à ce que sa langue rejoigne la mienne pour valser à l’unisson. Nous hydratons généreusement nos palais, mêlons nos salives l’une à l’autre. La sienne a le goût du bonbon à la menthe qu’elle a sucé dans le taxi, je le suspecte fortement, car je ne suis pas naïf, pour parfumer son haleine en prévision de cette longue station « Poutous ».
Moi aussi, je me suis déchaussé, et, pieds nus tous les deux, nous basculons sur le lit sans cesser de nous embrasser. Je suis à plat dos et, lorsque je décide faire sauter une à une les pressions de son caraco, elle redresse ses deux ...
... bras pour faciliter le mouvement. Je ne me lasserai jamais d’admirer sa poitrine qu’envieraient beaucoup de stars, tant par le volume, leur forme et la douce fermeté de ses deux globes, symétriquement dressés vers mes lèvres qui viennent les butiner avec appétit, en prenant soin de ne pas les meurtrir. Elle m’a raconté, dans nos échanges par mail, combien la sensibilité extrême au toucher de leur peau fine et soyeuse les rend prompts à se marquer d’hématomes disgracieux. Je déteste la BDSM. Faire mal en faisant l’amour me révulse et je recherche avant tout les feulements de plaisir que mes caresses lui arrachent lors de l’acte amoureux. « Fais-moi mal, Johnny ! », ce n’est pas pour moi et Elodie ne sera jamais ma Magalie Noël. Ce soir, elle et moi voulons jouer, « Déshabillez-moi » comme si elle était Juliette Gréco sur des paroles de Robert Nyel.
Craignant le contact de mon polo sur sa peau nue, je me mets torse nu. À son tour, ses lèvres taquinent mes deux mamelons qui s’érigent, loin cependant des deux centimètres qu’atteignent les siens. Ses mains et ses doigts parcourent mes pectoraux en de savants massages concentriques qui me détendent et me poussent à enlever mon pantacourt pour lui faciliter l’accès à mon nombril, voire plus bas. Je suis pour l’équilibre et dégrafe sa mini-jupe : elle se retrouve en string. Je l’avais admirée dans ce simple appareil hier soir, mais, là, maintenant, ma bouche trouve son mont de vénus que je découvre au-dessous de son joli ticket de ...