1. Retrouvaille post-confinement (1)


    Datte: 29/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Désolation, Source: Xstory

    ... mon territoire.
    
    Elle ôta ma ceinture et je retirais ce qu’il me restait de vêtements. J’étais en manque, je la désirais comme un fou.
    
    Elle s’assit sur l’établi et écarta ses jambes comme un appel. Son intimité semblait jaillir de ce lieu comme une couleur unique et indescriptible. Comme si l’univers avait dans sa course laissé s’échapper une entité cosmique irréelle. Ses yeux de jade étaient si intenses. Son corps nu, couvert de peinture et sa chatte flamboyante m’appelait. Je posais mon gland sur son clitoris, elle se mordit la lèvre inférieure. Je poussais sans difficulté pour la pénétrer. Elle me regardait la bouche ouverte en exagérant ses grimaces comme si elle allait défaillir. Cette sensation de chaleur autour de ma couronne était somptueuse. Ma cousine était si accueillante. J’attrapai toutes les parcelles de son corps et commençai à faire des va-et-vient de plus en plus violents, comme pour rattraper le temps perdu. Elle se laissait aller de temps à autre à s’allonger dans les peintures, mais je la rattrapais par la nuque. Je voulais qu’elle voit qui était en train de la baiser.
    
    Elle me griffa avec une main qu’elle avait plongée dans du jaune. Au fur et à mesure de nos ébats, nous ressemblions tous les deux à une toile pleine de peinture. Une œuvre qu’aucun n’artiste n’aurait pu songer. Un tabou incestueux faisant offense à ce que l’on pourrait appeler de l’art. J’aimais le bruit de sa chatte et l’odeur du frottement qui s’en dégageait. J’aimais l’odeur de ...
    ... sa peau qui évoquait le voyage. Ses cris et ses grimaces me faisaient craquer. C’est comme si elle ne maîtrisait plus son propre corps, piloté uniquement par son plaisir. J’aimais cette vision. Soudain, elle me poussa avec ses jambes, puis se mit à quatre pattes sur l’établi, elle me sourit:
    
    — Tu te rappelles quand on était petit, j’étais le cheval que tu montais. Maintenant, monte-moi encore avec toute ta fureur !
    
    Ses mots m’excitèrent de plus en plus. Je sentais mon cœur battre dans mon sexe en érection. Je montais sur le plan de travail et éjectat ce qui me dérangeait. Je l’attrapai par les hanches et poussai mon pénis en elle. Je ne sus pas si c’était la position, mais l’entrée était plus difficile. Mon gland pénétra ma cousine, mais sa chatte devenue plus inhospitalière retenait ma peau, me décalottant de plus en plus le sexe. Si bien que j’eus peur de me péter le frein, cependant je forçais néanmoins vu le plaisir procuré. Je retrouvais sa petite chatte humide et la limais de plus belle. Son cul tendu vers moi ne méritait que pénitence et je la bombardai de toutes mes forces, ne me ménageant pas. Mes assauts furent si brutaux qu’elle s’allongea. Je la retournai pour la prendre en missionnaire. J’aimais avoir cette vue de tout son corps plein de peinture, cela faisait ressortir les parcelles de chair d’un éclat unique.
    
    J’attrapais ses seins et poursuivis mes mouvements avec une bestialité telle que ce qui sortait de ma bouche ressemblait plus à des grognements ...
«12...4567»