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Retrouvaille post-confinement (1)
Datte: 29/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Désolation, Source: Xstory
... s’emballa, la chance me souriait, je pouvais échapper aux repas interminables. Merci, ma cousine, merci !!! Nous arrivâmes dans une clairière pour pique-niquer. Je partageais une serviette avec Caroline. Je la regardais manger et boire au goulot de sa gourde. Elle ressemblait à une aventurière à qui rien ne pouvait résister. Soudain, des perles d’eau glissèrent le long de ses lèvres jusqu’au menton, et s’échappaient jusqu’à sa poitrine en se cachant entre ses deux collines. Elle me regarda et sourit avec insouciance. J’attrapai un brin d’herbe et la chatouillait avec. D’abord sur les oreilles, puis le visage, je tentai ensuite son torse en essayant de descendre plus bas. Je m’arrêtai alors. Je me rendis compte de ce qui était en train de se passer. J’essayais d’être en contact avec elle, de m’approcher. J’étais attiré par elle, par un maléfice dont je ne connaissais pas la cause. Je freinais ensuite mes élans le reste de la balade. Arrivés chez nous, j’expliquais à ma famille qu’il était plus simple pour moi de rentrer avec Caroline, car j’avais des impératifs tôt demain matin, etc. J’attrapai mes affaires et les rentrai dans le coffre de ma cousine. Dans la voiture, nous discutâmes de tout et de rien. Elle m’expliqua qu’elle avait eu un appel comme quoi l’alarme de son atelier avait sonné et que cela l’inquiétait. Je songeai à quel point j’étais égoïste. Elle aurait pu aller voir son atelier au lieu de faire la balade, mais elle avait préféré attendre et profiter ...
... de sa famille. J’étais véritablement impressionnée par ma cousine retrouvée. Je lui proposais alors de d’abord passer à son atelier voir s’il n’y avait pas de problème et que je pourrais l’aider avant qu’elle ne me dépose chez moi. Après tout, je n’étais plus à ça près. Nous arrivâmes aux Andelus, et à son atelier. De l’extérieur, on aurait dit un hangar blanc. Je la suivis le long d’un couloir qui donnait sur un foutoir coloré. Il y avait un plan de travail, avec des verres dans lesquelles se trouvaient des centaines de pinceaux différents. Sur les côtés des toiles vierges ou entamés. Ce qui était frappant, c’est que partout des tâches de différentes couleurs et de diverses formes trônaient, donnant un aspect cartoonesque. Elle partit voir la porte qui avait déclenché l’alarme. Moi je restais ébahi devant une toile qu’elle était en train de faire. Je n’aurais su dire ce que c’était, mais mon imagination voyait représenter le chaos dans un océan brutal. Elle revint et je lui demandai: — Alors ? — C’est bon, c’était une fausse alerte. Elle poussa un long soupir, et sortit une boîte en métal d’où elle extirpa un joint et un briquet. Avant de l’allumer, elle me regarda et dit: — Excuse-moi, ça m’a tellement stressée que j’ai besoin de me détendre un peu. — T’inquiète, je comprends. Je regardais tous les pots de peintures, de gouaches, d’aquarelle. Des verres pour laver les pinceaux qui avaient des couleurs féeriques. Elle cracha de la fumée, elle ressemblait ...