-
Retrouvaille post-confinement (1)
Datte: 29/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Désolation, Source: Xstory
... de plus en plus à une cow-boy. Elle s’approcha de moi et me demanda en me tendant le joint: — Tu veux ? — C’est gentil, mais ça ne fait aucun effet. — Comment ça ? s’interrogea-t-elle. — Eh bien, en fumant je ne ressens pas l’euphorie ou autre. — C’est dingue ça ! Jamais ? — La seule fois, je crois que c’est mon ex me faisait des soufflettes. Sinon non. Elle fit une moue, puis me dit: — Approche-toi, je vais t’en faire une. Elle aspira la fumée, puis s’approcha de moi. Ses lèvres à quelques centimètres des miennes, elle expulsa la fumée dans ma bouche. Je ressentis un effet, mais je mentis: — Rien de plus je crois, réessaie pour voir. Le joint incandescent remplit sa bouche, et elle l’approcha de la mienne, cette fois-ci plus proche. J’avançais moi aussi et nos lèvres s’effleurèrent. Elle souffla la fumée en moi et j’inspirais tout. Je ressentis la puissance de cette soufflette. Et mes mains saisirent ses hanches. Ce mouvement provoqua un magnétisme sur nos lèvres et je l’embrassai tendrement. Elle me rendit mon baiser à sa façon, encore plus encore. Puis sa langue trouva la mienne. Je sentais sa peau de soleil, c’était tellement agréable. Je ne voulais perdre aucune miette de ses baisers. Dans notre fougue, je la poussai contre le plan de travail, et sentis que mon pénis se réveillait après des semaines de sommeil profond. J’étais si excité. Elle posa sa main sur ma joue tout en m’embrassant frénétiquement. Je n’en pouvais plus. Je plaçais ...
... mes mains sur le haut de son torse et déchirai son débardeur avec une telle force qu’elle sursauta. Face à moi, sa poitrine était à nu, de beaux seins qui voulaient se faire prendre. Je voulus déchirer son short, mais plus difficile, alors je lui ôtais son bouton, et le vêtement tomba de lui-même à terre. J’étais en rut. Ma cousine Caroline était face à moi, avec pour seule couverture un string noir. Elle me poussa de sa paume, décrochant nos embrassades, mais me regardait avec une telle intensité que nous restions connectés. Elle vida de la peinture bleue sur une palette et plongea un pinceau dedans. Elle l’appuya ensuite sur la base de son cou et le fit descendre jusqu’à son bas-ventre. Je compris le message. Je me mis à genoux face à elle et fis descendre son dernier rempart. Je me retrouvais face à son sexe nu, épilé et tatoué d’un petit dauphin sur l’aine. Elle écarta un peu ses jambes, me lançant au visage le parfum de sa chatte. Cela m’avait tant manqué. Je déposais mes lèvres sur son clitoris, puis ma langue vint jouer avec. J’avais un tel appétit. Et dire que c’était ma cousine. Elle caressait mes cheveux pendant que je la léchais avec gourmandise. Elle poussa des petits gémissements qui me poussaient à continuer. Puis elle me redressa pour l’embrasser de nouveau. J’attrapais de la peinture rouge et plongeai ma main dedans. J’agrippai ensuite son sein droit, sentant mon mamelon sous ma paume. Je n’ai jamais su pourquoi j’avais fait cela, peut-être pour marquer ...