1. Fin d'année à Biarritz


    Datte: 28/05/2023, Catégories: grp, fagée, inconnu, grossexe, vacances, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... lui était offert : celui de deux bêtes de sexe en tension extrême, quintessences de mâles en rut au service de deux femelles en chaleur.
    
    Maud vivait son accouplement à l’unisson de celui de Véronique et vice-versa. Elle baisait autant avec Peyo qu’avec Marko et quand les deux hommes, mus par une inspiration, changèrent de partenaire, Maud encercla les reins du trapu avec autant d’ardeur qu’elle l’avait fait avec le grand maigre. Il était juste un peu moins long et un peu plus gros dans son antre intime, mais l’essentiel était qu’il fût là, aussi virulent, aussi tonique, aussi endurant. C’était la première fois de sa vie qu’elle pratiquait un échange et ne s’en formalisa aucunement, tant elle était dans un état second.
    
    Quand Marko mit les pieds de Véronique au ras de ses oreilles pour accentuer encore plus sa pénétration, Peyo fit de même et les deux femmes poussèrent un cri guttural identique. La symbiose parfaite entre deux sexes également creusés. L’entraîneur lit dans les yeux de la blonde une reconnaissance éperdue qui survolta son ego de mâle. Il faillit éjaculer et se retira prestement en se comprimant la queue :
    
    — Oh non, pas déjà, gémit Maud, observant la crispation du visage du quinquagénaire alors que l’autre pelotari à côté poursuivait son travail de forage.
    
    Mais Véronique dégagea ses pieds du cou de son amant et déclara :
    
    — On fait une petite pause.
    
    Elle n’était pas mécontente non plus de relâcher la tension. Elle n’avait plus l’âge de Maud ...
    ... et sa capacité d’encaisser, sans compter qu’elle n’était pas autant en manque que sa nouvelle amie biarrote.
    
    *******
    
    Véronique partit chercher l’Izarra et servit à chacun un nouveau verre. Les deux couples sirotèrent la liqueur assis sur le lit dans une espèce d’entre-deux érotique, les hommes en demi-érection, les femmes à peine tiédies. Véronique titillait de son pied nu les couilles de Peyo et lui lança :
    
    — Tu es vraiment un gros cochon, toi. Mais tu baises bien.
    — Et toi, une vraie salope.
    — Je ne suis pas une salope, j’aime le cul parce que c’est ce qu’il y a de meilleur dans la vie. Hein, Maud ?
    — Ah oui alors, ça me manquait vraiment, je m’en rends compte maintenant.
    — Et comment tu veux qu’il te baise, ton Marko ?
    — J’ai envie qu’il me prenne par-derrière, j’adore ça.
    — Tu veux qu’il t’encule aussi ?
    — Non, juste qu’il me prenne comme une chienne.
    
    Sous l’effet de cet échange, les deux hommes étaient redevenus rigides et impatients d’enfourner leur engin dans ces deux chattes aussi disponibles. Verres sifflés, Maud se mit à quatre pattes en travers du lit, pieds en dehors, et Véronique se positionna de même juste de l’autre côté de la vaste couche, si bien que leurs visages n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Quand elles furent pénétrées, elles formèrent le même O avec la bouche et l’expression simultanée de leur visage révéla un étonnant mimétisme. Rictus, léchage de lèvres, langue entre les dents, soupirs et exclamations se ...
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