1. Fin d'année à Biarritz


    Datte: 28/05/2023, Catégories: grp, fagée, inconnu, grossexe, vacances, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... toujours sexy avec son corps mince, ses cheveux blonds très fins, son sourire permanent dans un visage nullement ingrat. On lui trouvait même une ressemblance avec l’actrice Virginie Effira. Le sexe ? Elle n’avait jamais été du genre à plaider une migraine pour refuser un accouplement avec son mari. Elle avait toujours aimé ça. Son couple était sans histoire. Telle était la teneur de la discussion à table avec Véronique quand l’une et l’autre en étaient venues à parler de leur séparation.
    
    Pour l’avocate, c’était différent. Elle lui avait dit que son mari et elle avaient eu longtemps des vies sexuelles « différenciées ». Ce qui avait été un temps une acceptation réciproque avait fini par devenir une cause de rupture, chacun aspirant à sa liberté pleine et entière. Maud avait été surprise par la liberté de ton de Véronique, son langage parfois très cru :
    
    — J’aime trop la bite pour me contenter d’une seule, lui avait-elle glissé, un sourire en coin.
    — Même à votre âge ?
    — Au contraire, plus j’avance en âge, plus j’aime le cul. Je veux en profiter tant que je suscite du désir.
    
    Maud avait encaissé. Elle avait fini par lui avouer qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis plus de deux ans.
    
    — Eh bien, j’espère que cette série va s’achever ici, lui avait-elle répondu, sibylline. Mais elle lui avait aussi précisé qu’elle était résolument hétérosexuelle, histoire de ne pas laisser d’ambiguïté dans leur relation.
    
    Le lendemain, comme prévu, les deux femmes se retrouvèrent ...
    ... sur la plage et entreprirent une longue marche par un temps d’une exquise douceur, à croire qu’on était déjà au printemps. Elles se parlèrent de leur vie, de leur travail, en se tutoyant, mais le plus souvent se contentèrent de respirer l’air marin. Puis Véronique, au moment de se séparer, fit une proposition à Maud :
    
    — Ne restons pas seules ce soir. Retrouvons-nous dans une boîte sympa que je connais.
    — Mais je n’ai rien à me mettre, je n’avais pas prévu ça.
    — Viens chez moi, je te proposerai quelque chose de bien. On a à peu près la même taille.
    
    Véronique logeait dans une villa beaucoup trop grande pour elle, non loin de la plage des Basques et ses remous permanents. Sa garde-robe était particulièrement fournie pour une résidence secondaire. Après de multiples essais, et des conseils avisés, Maud choisit une mini-robe qui mettait en valeur ses longues jambes d’ancienne joueuse de beach-volley, ras du cou devant, décolletée jusqu’au creux des reins derrière.
    
    — Tu devras te passer de soutif, mais tu en as les moyens, gloussa Véronique.
    
    De fait, les seins ronds et fermes de Maud tenaient encore parfaitement la route. L’avocate, quant à elle, opta pour une robe longue, mais fendue jusqu’en haut de la cuisse, d’un érotisme torride avec un décolleté profond en angle aigu, qui séparait ses seins comme un canyon.
    
    — Je serai à poil dessous, ce genre de robe ne supporte pas le sous-vêtement et d’ailleurs, quand je sors, j’aime être à poil sous mes robes. Je me sens ...
«1234...8»