1. Fin d'année à Biarritz


    Datte: 28/05/2023, Catégories: grp, fagée, inconnu, grossexe, vacances, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... dispo à baiser.
    
    Au moins, c’était clair. Véronique serait en chasse et incitait Maud à en faire autant. Celle-ci en était troublée, mais au fond pas mécontente. Cette femme allait lui permettre de vaincre toutes les réticences qui la minaient depuis deux ans. L’avocate fut encore plus claire en lui disant :
    
    — Je ne sais pas qui on va rencontrer ce soir, c’est toujours un peu la loterie, ces soirées. Mais les Basques sont de bons gars. Courts sur patte, mais bien membrés et endurants. J’ai été rarement déçue à baiser avec.
    
    Le lieu n’était ni tout à fait une boîte, ni tout à fait un bar : un entre-deux où picoler, draguer et danser au son d’une musique qui avait la vertu de ne pas être assourdissante, ce qui permettait de se parler. Maud et Véronique s’installèrent au bar, sur des tabourets en hauteur, ce qui eut pour principal effet de découvrir quasi totalement leurs jambes gainées de dim-up. Véronique ne buvait pas d’alcool :
    
    — Je fais très attention à ma ligne, c’est indispensable pour conserver un corps attrayant. Tiens, hier soir, je t’ai vue manger une pizza. Arrête ça, sinon à mon âge, tu auras vingt kilos de plus.
    
    La discussion sur l’hygiène de vie se poursuivit d’autant plus que les clients furent rares en ce soir de Noël. Juste quelques couples. Pas l’ombre d’un homme seul. Les deux femmes partirent se coucher avant minuit :
    
    — Pas grave, on reviendra demain. On se revoit à la plage ? proposa Véronique.
    
    Le lendemain soir, rebelote. Aux couples ...
    ... s’ajoutèrent deux types avinés, des Anglais, qui tentèrent de draguer les deux femmes sur leurs tabourets. Elles connurent toutes les peines du monde pour s’en débarrasser et se réfugièrent dans un autre bar, plutôt désert avant la fermeture :
    
    — Eh ben, si c’est ça Biarritz le soir, c’est pas folichon, grogna Maud.
    — N’oublie pas que c’est une ville de retraités, mais ne t’inquiète pas, je connais, il faut juste persister et demain, on fera encore une bonne balade du côté d’Hendaye, tu verras, c’est très chouette.
    
    Mais tout changea le troisième soir. À peine Véronique et Maud avaient-elle commandé leur boisson habituelle au barman qu’une dizaine de mecs débarquèrent bruyamment. Les gambettes largement découvertes des deux femmes, solitaires de surcroît, agirent sur leurs yeux comme des projecteurs. C’était une équipe de pelote basque qui venait « s’en jeter un » avant de retrouver leurs épouses ou compagnes, quand il y en avait.
    
    L’entraîneur, un homme grisonnant d’une cinquantaine d’années, trapu, poilu et jovial, entreprit aussitôt Véronique tandis qu’un grand maigre brun de peau et de poil faisait le siège de Maud. Présentations, discussions et plaisanteries s’enchaînèrent, entraînant un courant de sympathie réciproque. Maud aimait l’accent chantant de son interlocuteur, les muscles longs et fins de ses bras découverts, ses yeux qui en disaient long. Les autres pelotaris demeuraient ensemble, comme s’ils laissaient leurs camarades tenter leur chance avec ces deux ...
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