1968 : une révolution puissance X (3)
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... écoute en cachette les disques que Philippe lui a offert. Elle transgresse l’interdit des parents qui détestent cette musique de dévergondés… Les Beatles, Neil Young, Simon and Garfunkel, les Moody blues… Night in white satin, en boucle… Sa chanson préférée…
Night in white satin, never reaching the end…
Elle intègre l’insatisfaction à une forme d’aboutissement…
Letters I’ve written, never meaning to send…
Elle n’a aucune comparaison…
‘Cause I love you…
N’a jamais entendu prononcer le mot orgasme…
Yes, I love you…
Le sexe ? Franchement pas de quoi en faire un plat ! C’est médiocre, et alors ? Il n’y a vraiment pas que ça dans la vie ! L’essentiel, c’est l’amour…
Ô how I love you…
Elle trouvera le bonheur quand même. Oui, l’amour est ailleurs. Même si elle ne sait pas où chercher…
Just what you want to be, you will be in the end…
Et Philippe n’aidait pas à leur épanouissement sexuel.
Il avait des excuses.
La deuxième séance de baise, vraiment en coup de vent. Il n’avait pas bien compris comment elle s’était échappée des griffes de sa mère. Explications confuses. Mais elle était là. Essoufflée. Plus bandante que jamais. Elle se désapa très vite et se jeta sous le drap. Et donc, il se jeta sur elle. Il n’y avait rien d’autre à faire. Il fallait faire vite, vite expédier l’affaire. A la différence que, cette fois, il s’enfila sans trop de difficulté. Une chatte divine. Mon Dieu qu’elle était chaude et bonne à limer. Trop belle, trop ...
... bonne. Dix va et vient seulement et, déjà, ça va juter. Ça jute… Trop rapidement… Merde ! Vite sortir la queue. Quelque chose d’un chien honteux quand il se vide les couilles sur le drap.
Mais déjà, elle repartait :
« Ma mère va me tuer. »
Et la troisième fois, Sandrine n’était pas du tout en forme. En fait, si elle s’était écoutée, elle aurait tout simplement dit non, pas aujourd’hui. Libido à zéro. Mais, ils se voyaient si rarement et Philippe en avait tellement envie.
Elle semblait tendue. Pour la mettre en condition, un maximum de câlineries. Elle ignorait qu’il avait trouvé un subterfuge pour être moins impatient : il se branlait avant. Bien vidé, plus facile de faire durer, de maîtriser la montée du jus. Mais elle ne réagissait pas du tout comme il faut, pas en chatte en chaleur. Il s’est même demandé si elle ne s’ennuyait pas… In fine, elle a pris assez clairement l’initiative.
Pas vraiment d’érotisme dans la mise à poil. Elle se débarrassait de ses fringues comme d’une corvée.
Elle se planque sous les draps. Il l’a rejoint. Il entame les caresses. Bon Dieu, mais qu’elle est belle ! Un corps à se damner… qui reste de marbre. Il veut entrer dans le vif du sujet et tente de glisser la main vers la chatte. Elle esquive. Il n’y comprend rien. Change de cible. Vise les seins. D’habitude, elle réagit au quart de tour quand on lui pelote les nichons, mais là, rien. Alors le truc imparable, lui sucer les tétons, elle adore. Mauvaise pioche, elle s’agace. Il capte ...