1. Jouir de la vie


    Datte: 26/05/2023, Catégories: fh, fépilée, vacances, campagne, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, massage, caresses, nopéné, Auteur: Fitiavana, Source: Revebebe

    ... l’accompagne par mes caresses dans son lent retour au calme. Petit à petit, elle se détend, son corps s’apaise, sa respiration se calme. Elle est visiblement épuisée, presque sans connaissance, mais trouve la force de me remercier en disant :
    
    — Tu peux recommencer quand tu veux…
    
    Je continue à la caresser sur tout le corps, jusqu’à ce qu’elle s’endorme. Je retourne à la salle de bain : une deuxième douche s’impose. Je reviens vers elle avec un gant de toilette mouillé et tiède, que j’utilise pour lui nettoyer l’entrejambe.
    
    Émilie ouvre un œil :
    
    — On recommence ?
    
    C’est incroyable, elle est prête à remettre le couvert ! Je lui rappelle quand même le programme :
    
    — Si tu veux, mais on voulait aussi aller au marché ?
    
    Émilie me sourit :
    
    — Ne t’inquiète pas, je plaisante. Je suis vidée, au sens propre comme au figuré d’ailleurs… Désolée, quand je suis très excitée j’en mets partout. Habille-toi, je file sous la douche.
    
    Je lui montre l’objet violet qui est resté dans le coffret :
    
    — C’est quoi, ce petit jouet ?
    — Ah, je ne sais pas, c’était offert avec, répond-elle en plaisantant. C’est probablement pour les mauvais amants, en tout cas on n’en a pas eu besoin !
    
    Quand elle revient de la salle de bains, elle semble triste :
    
    — Tu ne m’en veux pas ?
    
    Je comprends immédiatement que les mêmes pensées que la veille tournent dans sa tête, mais cette fois, je suis bien décidé à les combattre avec humour.
    
    — Si, terriblement. Je déteste voir une femme ...
    ... prendre son pied, je déteste masser, caresser, masturber, faire jouir une nana. Je déteste mettre mes mains dans un sexe féminin, c’est tout gluant, et l’idée même de toucher un téton féminin me donne envie de vomir, surtout quand il est excité. D’ailleurs, je suis homo et je ne prends aucun plaisir à être avec une femme. Ne recommence jamais ce que tu viens de faire, s’il te plaît.
    
    Je suis si convaincant qu’elle éclate de rire.
    
    — Ce n’est pas ce que je veux dire, mais… c’est surtout moi qui en ai profité, pour la troisième fois.
    — Et il en reste deux, puisque nous avons cinq sens.
    — C’est vrai.
    
    Émilie saute dans sa courte robe d’été, elle n’a pas enfilé de sous-vêtements et guette ma réaction. Je lui fais un clin d’œil pour lui faire comprendre que j’ai remarqué, et nous quittons l’auberge.
    
    La soirée dans le village de G… est délicieuse. Après avoir assuré le ravitaillement pour le lendemain, nous prenons l’apéritif sur la place centrale, puis nous visitons le marché nocturne. Émilie reste très raisonnable, et ne craque que pour une petite robe, encore plus courte que celle qu’elle porte.
    
    — Celle-là, tu ne la porteras pas sans culotte, lui dis-je discrètement à l’oreille.
    — Chiche ! D’ailleurs, je vais tout de suite l’essayer.
    
    Miss sans-gêne fait semblant de se cacher derrière la porte du camion –on trouve rarement des cabines d’essayage sur les marchés – et elle se change sans autre forme de procès, dévoilant son corps au marchand qui n’en rate pas une ...