Le préparateur 02
Datte: 08/09/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
jeunes,
Auteur: FloreanMC, Source: Revebebe
... je frissonne, elle se crispe mais elle ne me repousse pas.
— Si tu me…oh…
Je tourne sur l’objet du désir en grands cercles lents ; ses yeux s’écarquillent : elle ne pensait pas que je serais si doux, ou peut-être qu’elle n’ose pas me dire que je viens de gagner la partie à plate couture.
— Thomas… ne…
Je pousse sur mon sexe de manière à lisser sa fente de bas en haut, de haut en bas, sans la quitter des yeux. Elle se tend encore, les poings serrés ; ses lèvres pâlissent sous le coup des sensations – ou de la rage, je ne sais pas. Le frottement sec devient immédiatement moelleux puis très humide.
— Ooooh…
Elle fond à mon contact. Je souris.
— Détends-toi.
J’ai toujours ma bite à la main ; mes couilles me font mal, j’ai envie de la baiser, mais je me retiens : je reste au bord de son intimité, me délectant de la manière dont ses plis réagissent à mes attentions et des vagues abondantes de cyprine qui les emplissent. Son visage devient moins dur, son regard plus vague ; elle s’abandonne doucement. J’hésite à en profiter ; mes caresses restent chastes, à mon corps défendant. J’emplis mes yeux de ses jeunes formes de gymnaste, de sa poitrine ferme et pointue, de sa chatte alanguie, de ses cuisses qui s’écartent de plus en plus, pour m’inciter à franchir la barrière inondée… je ne cède toujours pas.
Sa main glisse le long de son ventre ; elle saisit ma verge et se masturbe avec, les yeux clos. J’écoute son plaisir montant, je n’ai d’yeux que pour elle ...
... : c’est certainement la dernière fois que je serai dans un rapport aussi intime avec une fille de sa classe…
— Oh… oh…
Elle accélère ; je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps. J’essaie de la calmer. Je mets les mains sur ses deux seins dressés, ça ne fait que l’exciter davantage. Elle me plante en elle ; je me laisse guider, mais la jouissance arrive. Je me recule aussitôt, alors que je ne suis même pas entré complètement, et viens entre ses doigts en saccades incontrôlables. Les premiers jets zèbrent son nombril et sa minette nue ; elle referme les doigts sur mon gland et recueille le jus gras sans rechigner, les yeux toujours fermés, toute à ce plaisir partagé, miraculeusement. Un dernier spasme ; les dernières gouttes s’échappent des profondeurs de mon ventre, je pleure presque de joie, elle me branle toujours, ses doigts dégoulinent de sperme brûlant, de jute blanche. J’ai encore envie d’elle ; je ne la remercierai jamais assez de ce premier contact vers le déniaisement réel… J’ai mal de savoir que c’est la dernière fois qu’elle me touchera ainsi, et que j’ai eu l’occasion de baiser sans saisir ma chance !
— Ce sera tout, jeunes gens, merci.
Je sursaute, une onde électrique me vrille les reins, douloureuse.
Ma mère entre dans la pièce ; je me recule vivement et range ma bite collante dans mon jean, dos à elle, de façon à ce qu’elle ne me voie pas. Précaution inutile : elle n’a pas un regard pour moi ; elle observe ma blonde partenaire d’un air ...