Le préparateur 02
Datte: 08/09/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
jeunes,
Auteur: FloreanMC, Source: Revebebe
... ne me fréquente pas. C’est une de ces nanas qui vous montrent dès que possible que vous ne jouez pas dans la même catégorie qu’elles, et qui d’un regard sont capables de vous faire comprendre que ce n’est même pas la peine d’y penser. Le genre qui sort avec des mecs cools, pas avec moi.
— ’lut Thomas.
— Salut Célia.
Ma voix n’a pas tremblé, mais des serpents font des nœuds dans mon bide. Elle se lève et me rejoint. Elle n’a pas l’air d’être gênée. Le monde lui appartient. Et je n’en fais pas partie.
— On y va ?
Je hoche la tête. Je ne sais pas où me foutre.
Je ferme la porte. L’homme qui accompagne Yasmine est toujours là. Il me déteste, je le sais.
Célia jette un œil à la pièce ensoleillée. Elle est magnifique, pas très grande, mais fine, élastique, un corps qui sait exprimer toute l’arrogance de sa jeune blondeur, la peau mate, des petits seins sauvages, pointus, désespérément attirants, des lèvres charnues sous un nez retroussé, des yeux d’un vert jaune – jaune ! – les cheveux coupés en un carré lâche. Magnifique.
— Alors comme ça tu bosses ici, cet été ? Lilia m’a parlé de ton job. Alors j’ai pris rendez-vous.
Elle porte une mini-jupe en jean. Un haut de coton fuchsia. Des socquettes sur des baskets mode. Mes oreilles bourdonnent. Mon cerveau refuse de fonctionner.
— Lilia qui ?
— Ta sœur.
Je ne comprends rien à ce qu’elle raconte. Si ma sœur lui a décrit mon job…
— Mais… tu sais ce que je fais ici ?
Elle me toise, hautaine.
— ...
... Bien sûr. Je me déshabille ?
Je regarde sa fiche. Ma mère y a écrit : « Montre-lui ce que tu as dans le pantalon. ».
« Dans le pantalon ? Dois-je prendre cette phrase au sens propre, ou au sens figuré ? »
— Alors ?
C’est sa moue de mépris qui me décide.
— OK. Enlève juste ton tee-shirt et ta jupe, et place-toi sur la table, les pieds dans les étriers.
Elle sourit, l’air triomphant, curieusement.
— J’avais dit à Lilia que tu n’oserais pas.
Elle ôte sa jupe. Elle porte un string blanc. Ses fesses sont parfaites.
— De quoi ?
Elle enlève son haut rose. Elle n’a pas de soutif. Ses seins dardent, arrogants. J’ai envie de les toucher.
— Me demander de me déshabiller. Je te fais peur.
Je me maudis.
— Pas du tout.
— Alors…
Elle ôte son string. Je la regarde, éberlué.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Je m’installe pour ma consultation.
Elle grimpe sur la table, féline, et installe ses pieds sur les étriers. Je ne l’ai pas vue enlever ses baskets.
Sa minette est nue, élastique, un bouton rose bombé sur une fente vertigineuse, ouverte, entourée de lèvres gracieuses, toutes tendues. Célia me défie.
« Montre-lui ce que tu as dans le pantalon… OK ! » Je me place entre ses cuisses.
J’ouvre ma braguette et en sors mon sexe douloureux.
— Qu’est-ce que tu crois que tu fais, là ?
— Je suis là pour te détendre. Je fais mon job.
Je place mon gland gorgé de désir sur son petit bonbon dressé. Le contact est terrible et formidable à la fois ; ...