Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (2) - Histoires de Sexe

Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (2)

... bouche quand Claude à donner fin à ce que nous faisions. Il m’a pris par la main pour me faire relever, puis il a informé les femmes que j’étais maintenant suffisamment chaude et que nous allions les quitter. C’est main dans la main que nous sommes montés à l’étage, tel un homme emmenant sa femme pour la nuit de noce. Pendant que, perché sur mes bottines, nous quittions les femmes, elles se sont assises sur le canapé et je ne sais pas si c’est le fait d’être la femme aujourd’hui mais j’avais l’impression que de leur côté elles n’allaient pas s’ennuyer. Je savais que dans quelques instants j’allais passer à la casserole et que cela allait se faire tout en douceur. En agissant ainsi j’avais l’impression que Claude voulait m’honorer dans l’intimité, peut-être était-ce par pudeur.

Maintenant je désirais le sentir en moi, je désirais l’entendre soupirer à chaque fois qu’il rentrerait dans mes entrailles, je désirais sentir ses mains accrochées à mes hanches, je désirais me sentir sienne. Une fois arrivés dans leur chambre conjugale il m’a fait allonger sur le lit, puis s’est absenté quelques instants, il est revenu avec plusieurs culotte de sa femme qui sentaient vraiment bon la femme. Il me les a enfilé à l’envers sur le visage, mes yeux passaient entre les ouvertures des jambes. Maintenant j’avais une vue sur le patron qui allait me féconder pendant que je respirais les odeurs intimes de sa femme. En me retrouvant ainsi, j’avais la sensation que depuis des années Patricia me ...

... préparait à ce moment-là. Ma femme m’avait tenté si bien préparé, que je me sentais maintenant la femelle de son patron. Comme il me l’avait demandé, j’étais allongé sur le lit, obéissant à ses désirs; maintenant il venait de me rejoindre sur son lit. Avec une façon de se mouvoir un peu féline, ce qui me donnait encore plus envie de lui. Il a soulevé l’avant de ma robe, il a libéré mon sexe qui était emprisonné dans une douce culotte et s’est mis à me masturber.

À ma grande surprise il est même venu me sucer un petit peu,, en récupérant un peu de salive pour me lubrifier mon petit trou. Désormais quoi qu’il me fasse, cela me faisait du bien, cela me faisait bander encore plus fort, mais surtout cela me faisait le désirer plus encore. Pendant qu’il finissait de me chauffer, j’admirais la chambre et constatais qu’il n’y avait pas de doute; c’était sa femme qui s’était chargée de la déco. Maintenant Claude venait de cesser sa fellation, il m’a débarrassé de ma douce culotte pour libérer mon accès et je l’ai senti venir se positionner au-dessus de moi, il a relevé mes jambes qu’il a calé sur ses avant-bras. Ça y est je commençais à sentir son sexe s’approcher de mon intimité, maintenant son dard se promenait le long de ma raie, je savais que dans un instant, en un coup de rein, j’allais devenir sa femme. J’étais maintenant impatient qu’il vienne forcer mon rectum, tout en sachant que ce dernier était déjà bien prêt.

Ça y est il était maintenant en train de me pénétrer, vu ...