1. Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (2)


    Datte: 08/09/2018, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... de vraiment apprécier ma prestation. J’essayais de promener ma langue autour de son sexe pour en découvrir des moindres recoins et surtout en savourer le goût. Finalement je commençais à comprendre pourquoi ma femme appréciait à ce point de me faire une fellation. Pendant que j’étais en train de faire du bien au patron de ma femme, j’ai découvert avec plaisir que Muriel s’était mise à me caresser le corps à travers mes vêtements féminins. Il n’y a pas à dire de telles caresses étaient cent fois plus efficaces à travers du lycra, du satin, de la viscose de parures féminine, plutôt que du coton d’une chemise masculine. Je ne sais pas si c’était d’avoir la bouche pleine d’un sexe gonflé de désir où les caresses de la maîtresse de maison; mais j’avais une énorme érection.
    
    Par moment Muriel venait me pincer la pointe des tétons, bien que j’ai la bouche pleine, ces petites attentions me faisaient soupirer de plaisir. Claude me baisait maintenant la bouche en donnant des coups de reins, je subissais et surtout je commençais à savourer ce que j’étais en train de vivre. Mes mains étaient désormais accrochées aux cuisses du mâle de la maison, cela me faisait tout drôle aujourd’hui de réaliser que d’habitude j’étais l’étalon sous notre toit et là c’est moi qui étais la pouliche. J’étais parfaitement conscient de la façon dont cela allait finir d’autant plus que Muriel était en train de commencer à me solliciter mes petites fesses. J’avais vraiment la sensation d’être la femelle ...
    ... qu’on amenait au taureau, la femelle qui allait se faire saillir, la femelle qui allait se faire féconder. C’est vrai que maintenant, avec les caresses de la maîtresse de maison, j’avais envie de me faire prendre.
    
    J’en étais maintenant à pousser de petits cris à chaque fois que les doigts de Muriel venaient se faufiler entre mes deux lobes fessiers. Plus ses caresses étaient insistantes et plus j’essayais de prendre en bouche le sexe de son mari ou lui donner le plus de sensations possible. Maintenant les mains qui caressaient mon intimité étaient passées sous la robe et c’était des doigts enduits de salive qui venaient me préparer mon orifice. Maintenant les deux femmes étaient en train de m’adresser des encouragements au féminin peu flatteurs.
    
    — C’est bien ma cochonne, fais du bien à mon mari.
    
    — Il y a une femme en toi que mon mari a décelé.
    
    — Mon mari adore les petites pédales comme toi.
    
    Cela me faisait tout drôle qu’une autre femme que Patricia me parle ainsi.
    
    — - - C’est bien Franck laisse-toi aller tu es en train de te découvrir de nouveaux talents.
    
    — - - Claude va te faire découvrir de nouveaux plaisir.
    
    — - - Mon patron va te faire révéler ton côté féminin jusqu’au bout.
    
    Moi qui étais concentré à essayer de faire du bien à Claude avec ma bouche, les deux femmes étaient en train de réveiller au maximum la femme qui dormait en moi. Voilà maintenant une bonne demi-heure que j’étais en train de subir un tel traitement et d’ainsi m’exprimer avec ma ...
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