1. Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (2)


    Datte: 08/09/2018, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... comment j’étais chaud, je n’ai ressenti strictement aucune douleur. Son gland venait de passer mon anneau rectal et maintenant c’était sa colonne de chair qui tout entière était en train de s’introduire en moi. Là où j’ai été surpris c’est quand il m’a débarrassé des culottes sur mon visage pour commencer à m’embrasser, sans vraiment me demander mon avis. Cela devait lui faire tout drôle de m’embrasser et en même temps sentir le minou de sa femme. C’est une chose que j’adorais faire avec Patricia, l’embrasser pendant que je la pénétrais; là j’échangeais le baiser avec un homme et qui plus est le patron de ma femme. Finalement ce n’était pas si désagréable que d’avoir le rôle de la femelle, dont le mâle dominant vient de rouler une gamelle. J’étais en train de perdre mon pucelage dans les meilleures des conditions et j’étais en train de penser à Patricia car mon petit doigt me dit qu’elle avait tout manigancé.
    
    Le regard de Claude laissait supposer qu’il était content de me dépuceler mais surtout qu’il avait l’air de prendre du plaisir à me ramoner le fondement. Là où j’étais un peu gêné, c’est qu’à force d’aller et venir en moi, je prenais un plaisir monstre et qu’à ce rythme-là, j’allais finir par prendre mon pied ainsi. Claude était plus solide que moi il était aussi plus venu c’est bête à dire mais moi qui étais l’étalon de ma femme, je me sentais vraiment la femelle et la soumise du patron de Patricia. Il y a des fois où ses coups de reins étaient encore plus ...
    ... puissants que d’habitude et je sentais ses boules taper sur les miennes, c’est vraiment une sensation à découvrir entre hommes. De temps à autre je fixais du regard mes bottines qui étaient juste au-dessus de moi, Patricia s’amusait à me déguiser en femme maintenant j’en avais le rôle. Je me suis étonné à redemander un baiser à Claude, chose qu’il m’a offert immédiatement avec plaisir, je réalisais que je prenais grand plaisir à être bisexuel. Quand je contractais mon rectum, je sentais encore mieux les mouvements de mon étalon en moi. C’était un plaisir tout féminin, que j’étais en train de vivre et de découvrir; au fond de moi, je me disais que j’allais y prendre goût très vite.
    
    À me faire ainsi sodomiser je pense que mon sexe était de la même taille que celui de Claude, à la différence près que le mien ne servait à rien. Maintenant il avait glissé ses mains sous mes épaules pour s’accrocher à moi et donner des coups toujours plus puissants. Il n’y a pas à dire la chienne que j’étais devenue était vraiment comblée par l’étalon qui m’honorait. Je l’entendais soupirer très fort et surtout je sentais son souffle chaud dans mon cou, j’étais en train d’imaginer que Patricia devait ressentir la même chose quand je m’occupais d’elle. Puis ses coups de reins se sont espacés mais sont devenus encore plus puissants, il m’a serré très fort et je l’ai senti me balancer toute sa liqueur tout au fond de moi. J’ai senti chaque giclées de semence se répartir dans mon boyau, ça y est j’étais ...
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