La boulangère (1)
Datte: 18/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: anonymous59, Source: Xstory
... la voilà en train de me sucer avec adresse et vigueur. Jamais on ne m’avait fait une telle pipe ! Cela dure quelques minutes quand je l’arrête. Je la relève et l’assois sur le comptoir, là où l’on elle rend la monnaie aux clients d’ordinaire. Elle défait son soutien-gorge, et je lui mange les seins, elle gémit, me passe les mains dans les cheveux. Puis je descends, soulève sa jupe pour découvrir un string rose dentelle et dessous un minou assez touffu, comme je les adore.
— J’espère que vous aimez ? Je ne suis pas du genre épilation intégrale.
— Vous êtes parfaite !
Je me jette alors sur cette chatte qui dégage une bonne odeur de mouille intense, et je me délecte du nectar. Je lui bouffe le minou, acharné, je joue avec son clito, lui pince les tétons.
Quelques minutes, plus tard, alors qu’elle refrène des cris, elle me dit qu’elle va jouir, à plusieurs reprises, je m’applique davantage donc. Mais elle avait omis de me prévenir.
— Attention, attention... attent... Aaaaaaaaaaaaah !
Et c’est là un énorme geyser de cyprine que je reçois ! Non pas pour me déplaire, car je fantasmais sur une femme fontaine depuis longtemps ! Je fais mon possible pour boire ce que je peux, et mon t-shirt est trempé, ainsi que le comptoir.
Elle s’arrête alors net, semblant être très gêné par ce que vient de se passer.
— Je suis désolée, ça ne m’est pas arrivé depuis des années !
— Ah non, mais ne vous excusez pas, j’ai aimé !
Elle me fixe du regard alors et une flamme en ...
... elle semble brûler encore plus fort.
— Prenez-moi ! me dit-elle.
Je retire mes vêtements et les derniers qu’il lui reste et je présente ma queue veinée au possible à l’entrée de son minou et je rentre d’un coup sec, non sans mal vu comment elle mouille.
De grands coups de bites sont alors assénés, ses gros seins ballottent, elle doit les tenir. Nos regards se soutiennent, je vois la salope en elle, comme elle doit voir en moi le coquin que je suis. Je lui tiens les jambes écartées en l’air, afin de mieux profiter de la vue de son sexe entrant et sortant de sa forêt.
Je suis à présent en train de la baiser sauvagement sur ce comptoir, si les gens savaient, si son patron savait !
Rapidement, je sens que je vais exploser et elle me dit !
— Tu veux venir sur mes seins ?
— Oui !
Elle descend alors du comptoir, s’agenouille et me masturbe tout en me regardant, et une ou deux minutes plus tard, une grosse quantité de foutre jaillie, tellement que je dois me tenir pour ne pas tomber tellement me, je me sens vidé.
C’est un vrai bordel, elle en a beaucoup sur les seins, un peu dans les cheveux et un peu sur le visage.
— Wow, tu ne fais pas semblant ! me dit-elle toute sourire.
Nous prenons quelques minutes, puis elle regarde l’heure.
— Il faut vraiment que je rentre maintenant ! Mon mari n’est pas du genre attentif, mais bon.
— Pas de soucis.
Nous nous rhabillons et sur le moment de partir, je lui demande :
— On pourra remettre ça ?
— Je ...