La boulangère (1) - Histoires de Sexe

La boulangère (1)

... Aurélie, je suis en retard !

— Bonsoir Sylvain ! Effectivement, j’allais fermer, mais rentrez, je vais vous servir.

Nous sommes en juin et la chaleur est arrivée, elle porte un simple débardeur sous son tablier resserré à la taille, et sa poitrine paraît encore plus massive. Elle porte aussi une jupe fleurie en tissu léger et une paire de sandalettes type spartiate. Je n’ai pas dû être discret, car j’ai immédiatement fixé sa poitrine et nos regards se sont croisés ensuite, et elle a souri.

— Ça ne vous dérange pas si je ferme le rideau, histoire qu’il n’y ait pas d’autres clients retardataires ? Je vous ferai sortir par la porte de service.

— Ah non du tout.

Nous attendons que le rideau descende, une petite obscurité s’installe malgré les petits spots allumés.

— Que voulez-vous ?

— Ce que vous voulez...

Aurélie me regarde alors, surprise par ma réponse. Elle rit, confuse, et se met à me proposer différents pains.

Je lui demande une des dernières pâtisseries qui se trouve le plus en avant de la vitrine. Elle me regarde, à nouveau surprise par cette demande, me fixe, et s’exécute. Elle se penche alors dans la vitrine et je peux alors apercevoir son décolleté superbe. Je ne me cache pas pour regarder et admirer. Elle me regarde en retour puis me dit :

— Et celle-ci parait mieux non ? Ou bien celle-ci ?

Tout en disant ces paroles, elle bouge de gauche à droite, et je peux admirer que davantage ses atouts.

— Finalement, je vais prendre le ...

... dernier pain là-haut.

Elle me fixe, toujours penchée dans la vitrine et me sourit, elle sait que je lui demande un pain rangé trop haut pour elle. Elle se redresse, tente de l’atteindre sans succès.

— Je n’arrive pas à le prendre, peut-être pourriez-vous m’aider ?

— Bien sûr !

Je fais alors le tour du comptoir, l’allée est étroite derrière, je suis alors contre elle presque et j’attrape le pain, que je lui donne. En le prenant, sa main se pose sur la mienne, et à ce moment, nous nous fixons et je suis immédiatement transporté.

Nous nous sautons dessous et nous nous embrassons. Puis elle s’arrête.

— Je suis marié, vous savez Sylvain.

— Je ne suis pas seul non plus à vrai dire... Mais vous m’attirez tellement.

À peine quelques secondes et elle me saute de nouveau dessus. Très vite, mes mains parcourent son corps, en passant par ses seins pour ensuite la serrer contre moi en attrapant ses fesses.

— À chaque fois que je vous vois, je mouille ma culotte...

— Vous me faites bander aussi, je dois dire !

Elle défait alors son tablier et retire son débardeur. Deux magnifiques obus dans un soutien-gorge en dentelle jaillissent. Elle les tient et me dit :

— J’ai cru comprendre que vous les appréciez !

— Oh que oui !

Puis elle s’agenouille avant d’aller chercher mon sexe dans le pantalon. Je l’aide alors et lorsque mon sexe se présente, tout tendu devant elle, elle me dit :

— En voilà une belle pâtisserie ! En riant.

Quelques secondes plus tard, ...