1. Photos de famille (9)


    Datte: 16/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    ... cet abricot alléchant. La tige métallique revint à la charge. Sabrina manifesta sa déception. La bouche lui procurait un plaisir plus intense que ce ridicule objet. Pour seule réponse, le mannequin sourit à cette protestation. Un réglage différent surprit la rousse qui ne put retenir un gémissement.
    
    — Gourmande ! Tu préfères ainsi ?
    
    — Oui, mais je ne serais pas contre un peu plus de puissance…
    
    — Patience ! Tu sentiras bientôt tout ce que cet engin peut t’offrir.
    
    Jessie-Line augmenta la cadence. Elle pressa le bout arrondi de la tige sur le clitoris. Anticipant le réflexe de la rousse, elle lui écarta les jambes de son bras libre de sorte qu’elle ne puisse les refermer. Alors seulement, elle déclencha de petites décharges électriques. Sabrina tenta en vain de se protéger en resserrant ses cuisses. Quand le mannequin en eut assez de stimuler la petite perle, elle fit glisser la tige le long des lèvres luisantes. La jeune fille frémissait à l’idée de sentir l’électricité picoter ses nymphes. Ce ne fut que lorsqu’elle atteignit la naissance des lèvres que Jessie-Line appuya à nouveau sur le bouton. En revanche, elle ne se contenta pas d’un seul stimulus : Sabrina eut droit à une salve fournie. Pendant une petite demi-heure, elle subit d’aléatoires décharges électriques.
    
    — Je t’offre un peu de répit avant la suite… Puisque te voir te tortiller m’a bien excitée, je te laisse le soin de nettoyer ma fente.
    
    Les genoux de part et d’autre de la tête de la rousse, ...
    ... Jessie-Line s’abandonna à la langue novice mais pourtant déjà efficace. Ophélie, elle, prit la place de sa cousine entre les jambes de son modèle. Le mannequin lui donna quelques consignes pour la suite que Sabrina, la tête comprimée entre ses jambes, ne parvint pas à entendre. Elle cherchait un peu d’air ; la blonde frottait son entrejambe contre le visage, veillant à lui laisser à peine le temps de respirer. Puis sa prisonnière agita le bras comme un boxeur renonçant au combat. Jessie-Line la libéra ; Sabrina toussa. Si ce n’était la première fois qu’elles se rencontraient, elle l’aurait giflée de l’avoir ainsi laissé suffoquer. Elle décela même sur le visage d’Ophélie une moue circonspecte.
    
    — Allonge-toi, on va rejouer avec cette tige. Je vais te faire découvrir des plaisirs insoupçonnés.
    
    Devant la réticence de Sabrina, elle l’assura qu’elle ne tenterait pas à nouveau de l’étouffer, s’excusa d’avoir laissé son penchant sadique prendre le dessus. Elle ne souhaitait que lui procurer du plaisir. La sœur d’Anton accepta, abandonnant toute résistance. Jessie-Line s’allongea entre les jambes de la rousse, lui parla d’une voix douce afin de calmer ses dernières traces de nervosité. Elle promit également de ne pas abuser de l’électricité. Avant toute autre chose, elle lui dispensa moult caresses, moult baisers sur son ventre, ses cuisses. Elle avait une envie folle de jouer avec ses seins, mais ce serait pour plus tard.
    
    Elle revint à la vulve dont la peau, d’une extrême ...
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