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Photos de famille (9)
Datte: 16/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... Anton commanda un demi. Il partait quelques jours à Paris pour présenter son projet de livre à son éditeur. Sabrina semblait intimidée. Jamais la photographe ne l’avait vue autant sur sa réserve. Pourtant, ces derniers jours, elle s’était rendu compte combien la jeune rousse pouvait s’avérer délurée. Elle espéra que la venue de sa cousine ne la perturberait pas davantage, aussi préféra-t-elle la prévenir tout de suite. La réaction de Sabrina la rassura. — On y va ? — Tu ne me laisses même pas finir ma bière ? — Tu n’as pas besoin de moi pour boire le peu qu’il te reste. — Ne décourage pas ta sœur, Anton ! Tant d’entrain fait plaisir à voir. Ophélie déposa la galette de polycarbonate dans le lecteur puis observa Sabrina qui fouillait parmi les vêtements. Elle se trémoussa dès les premières notes d’American Boy d’Halestorm. La photographe sourit, ne commenta pas le choix de la jeune fille dont il était évident qu’elle savait ce qu’elle voulait. Elle se confectionna un look en adéquation avec la musique. Sa seule hésitation concernait la tenue qu’elle porterait en premier parmi les deux qu’elle s’était choisies. Après quelques suggestions de la part d’Ophélie, elle enfila la robe bariolée et chaussa une paire de bottes en cuir. La séance commença. — Pas de maquillage ? questionna Sabrina. — Celui que tu as suffira pour le début. Je ne suis pas une pro dans ce domaine. On se concertera avec ma cousine quand elle arrivera. Elle ne devrait pas ...
... tarder. L’appareil photo crépita. Ophélie dispensait ses conseils, s’arrêtait pour corriger les poses parfois maladroites mais toujours enthousiastes de Sabrina. La photographe privilégiait les prises en mouvements plutôt que celles statiques qui émoussaient la spontanéité des modèles. Elle analysait les difficultés de la jeune rousse, lui suggéra d’endosser le blouson en cuir et de se laisser guider par la chanson. La rondeur de la poitrine empêchait la fermeture du perfecto, un poil trop étroit à ce niveau. En revanche, le vêtement lui permettait d’occuper ses mains de manière plus naturelle. Ici, elle relevait le col ; là, elle introduisait les pouces dans les poches, tirait sur la veste… Sabrina interrompit la séquence. Elle quitta la robe, enfila un short en jeans qu’elle avait repéré dans la valise. Lui aussi se révéla un poil trop petit. Sabrina put l’enfiler, mais dut abandonner l’idée d’en remonter la fermeture Éclair. Pour le haut, elle ne garda que son soutien-gorge et endossa le blouson de cuir à même la peau. Elle le ferma autant que possible. Comprimée, sa poitrine semblait vouloir déborder. Ophélie pigea où la rousse voulait en venir. Elle reprit son appareil. Sabrina gagnait en assurance. Lorsqu’elle se tournait, le short menaçait de craquer tant il lui moulait les fesses. La photographe comprit la difficulté d’Anton à terminer sa séance ; elle-même peinait à masquer son propre trouble. Son portable vibra : Jessie-Line attendait devant le portail. Ophélie suspendit la ...