1. Une Rencontre


    Datte: 16/05/2023, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... voudrait plus de relations sexuelles, et si j'étais enceinte, cela calmerait ma sexualité.
    
    Je n'ai pas eu le temps d'expliquer à mon chéri ce que je venais de faire, je sortais de chez le médecin, qu'il m'a annoncé qu'il s'absentait plus de deux semaines. Il avait besoin de rendre au siège, en Allemagne, pour compléter sa formation. Je l'ai suppliée de m'emmener avec lui, mais il a été intraitable.
    
    Confiant, il croyait qu'il me manquait, que j'étais amoureuse, mais la vraie raison, c'était que je ne pouvais plus me faire confiance. Marianne, avec toutes ses bêtises, m'avait tourné la tête, et j'étais prête à faire n'importe quoi.
    
    Quand je voyais un beau mâle maintenant, souvent un noir, je fantasmais sur lui, mes tétons durcissaient et ma chatte commençait à saliver. Je me précipitais à la maison pour me faire plaisir. J'ai élargi ma recherche d'emploi pour trouver un travail, n'importe lequel, pour occuper mon temps et mon esprit.
    
    Cela, Marianne l'ignorait. Je savais qu'elle saurait bien me faire passer du fantasme à la réalité sur je lui confiais mes soucis. Quand elle a voulu connaître des détails sur l'utilisation de mon vibromasseur, j'ai dit que c'était bien à l'occasion, mais que ça ne pouvait pas remplacer mon chéri. Elle l'a accepté.
    
    Les trois premiers jours d'absence de mon copain, j'ai résisté à la tentation. Mais le troisième jour, Marianne m'a présenté un gars, un noir, superbe, en lui précisant que j'étais célibataire. J'ai fait de mon mieux ...
    ... pour paraître désintéressée, mais j'avais l'impression que mon cœur sautait dans ma bouche.
    
    Je me sentais comme un chien à qui on pose une friandise sur le nez. Je salivais devant sa stature, ses biceps bombés, ses cuisses musclées. Sa peau était noire, luisante de sueur sous l'effort. Sans pudeur, Marianne m'a dit devant lui qu'elle l'avait essayé, et que c'était un «super coup.»
    
    J'étais horriblement gênée, surtout quand elle a ajouté que, si je le voulais, je n'avais qu'à tendre la main et l'emporter chez moi. Mes oreilles n'entendaient plus qu'un léger bourdonnement, ma vision devenait floue, j'ai hoché la tête à plusieurs reprises, en souriant bêtement, ne comprenant rien à ce qu'il me disait.
    
    J'étais tellement ardente. Mon ventre me faisait mal. J'avais hâte d'être chez moi pour me livrer à mon jeu favori. J'avais besoin d'exulter, et cela m'inquiétait d'être tentée à ce point. J'avais peur de perdre la tête la prochaine fois, de ne plus pouvoir résister à la tentation, et de céder au premier venu.
    
    La prochaine fois, c'était le quatrième jour d'absence de mon mari. Je rentrais chez moi. Un gars entre deux âges, la cinquantaine grisonnante, un noir, dans le couloir de mon immeuble. Je ne sais pas comment il a fait pour trébucher, et lâcher une pile de dossiers qu'il portait sous le bras.
    
    Je me suis précipitée pour l'aider à ramasser tout son fourbi. Il se confondait en excuses, le pauvre vieux, et je pensais :
    
    "Celui-là, je ne risque pas d'en tomber ...
«12...456...10»