1. Une Rencontre


    Datte: 16/05/2023, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... recommencer encore et encore jusqu'à l'épuisement.
    
    L'épuisement des piles, s'entend, parce que j'étais insatiable. Une fois que j'ai bien compris comment m'en servir, je recommençais encore et encore, et cela m'a surpris de voir combien c'était facile et agréable. J'ai démonté tous les appareils à piles de la maison, finalement je me suis demandée si je pourrais en avoir un plus gros, sur batterie.
    
    Le lendemain, Marianne m'a appelée pour savoir si j'étais satisfaite de son cadeau. Honnêtement, je me sentais un peu gênée. Quel genre de femme passe toute la nuit avec un pénis vibrant dans son vagin? Je lui ai dit très bien, sauf que j'avais épuisé toutes les piles de la maison.
    
    Aucun gode, même vibrant, ne peut égaler un homme qui grogne et souffle en pompant au-dessus de moi, donc j'étais heureuse en fin de semaine de retrouver mon copain. Mais il me manquait encore quelque chose. Dès qu'il s'est absenté, je suis retournée jouer avec mon gode, mais avec quelques différences.
    
    À l'origine, lorsque j'utilisais mon jouet, j'imaginais faire du sexe avec mon copain, mais progressivement, dans mes fantasmes, le visage d'autres hommes s'est substitué au sien. Le visage de gars que j'avais croisé dans la rue, au supermarché ou dans la salle de sport. La plupart du temps, c'était le visage d'hommes noirs.
    
    J'assimilais cela à de l'adultère, et le fait de m'imaginer avec un amant noir, me faisait jouir plus fort et plus longtemps. Je ne sais pas pourquoi exactement le ...
    ... fait que ce soit un homme noir me paraissait plus troublant, plus émoustillant.
    
    À partir de ce moment-là, je me suis mise à regarder les hommes, et surtout le pantalon, au niveau de l'entrejambe, rangeant mentalement dans mon cerveau les images les plus sexy pour les utiliser plus tard. J'avais honte de moi et je me sentais coupable, mais je ne pouvais tout simplement pas m'en empêcher.
    
    Je sortais mon amant noir de sa boîte plusieurs fois par jour, et je fantasmais sur les anecdotes que Marianne m'avait contées, ou sur des hommes croisés au hasard. Je m'imaginais dans les bras d'un grand athlète noir, hurlant de plaisir sous ses coups de bite qui me retournaient le cerveau.
    
    Je jouais à un jeu dangereux, je le savais. L'infidélité mentale, chez la femme, est bien pire que l'infidélité physique, chez l'homme. Mon attitude était immorale, je le savais, mais je pensais que c'était provisoire. Quand mon copain allait cesser ses déplacements, nous pourrons avoir des relations sexuelles régulières et normales, et je cesserai d'utiliser ce gode.
    
    Avec mon corps bousculé par toutes ces hormones et nouveaux sentiments, je ne pouvais tout simplement pas m'en empêcher. Je devais juste éliminer autant d'exaltation que possible, jusqu'à ce qu'il soit disponible pour moi. Une fois que les choses seront redevenues normales, j'ai pensé que mes envies lubriques disparaîtraient.
    
    Stupidement, je suis allé chez le gynéco, me faire retirer mon stérilet. Si j'étais fertile, mon ami ...
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