1. Une Rencontre


    Datte: 16/05/2023, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... mieux de rester comme ça, parce qu'une fois que tu as goûté au sexe avec un noir, tu ne peux plus t'en passer."
    
    J'aurais dû probablement m'éloigner d'elle, nos façons de penser étant incompatibles. Mais je n'avais pas d'autre amie, je me sentais désespérément seule, et elle était la seule personne que je pouvais voir tous les jours.
    
    Je dois bien admettre qu'elle m'attirait, sa joie de vivre et son dynamisme me séduisaient. De plus, elle savait que je n'avais pas l'esprit rapide, elle était toujours patiente avec moi, m'expliquant longuement quand je ne comprenais pas.
    
    J'ai fini par occulter son côté libertin, et notre amitié s'est renforcée. La seule différence maintenant, c'est qu'elle me parle ouvertement de ses aventures sexuelles. À la salle de sport, lorsqu'elle voit un nouveau garçon noir, elle commente sans pudeur sa musculature en se demandant ce qu'il cache dans son pantalon. Quand elle parvient à le séduire, elle me détaille ensuite longuement ses performances sexuelles. Elle ne semble vivre que pour ça.
    
    Un jour, nous étions chez elle, elle a sorti un cahier et me l'a tendu. J'ai commencé à le feuilleter. Au début, c'était déroutant, jusqu'à ce qu'elle m'explique. Elle tenait un journal de chacune de ses expériences sexuelles, le prénom du gars, ce qu'ils avaient fait, la taille de son pénis, combien de fois, si elle avait joui, l'ampleur de ses orgasmes, etc ...
    
    Elle avait commencé son journal intime à l'âge de seize ans, avec plusieurs rencontres ...
    ... par semaine, et certains n'avaient même pas de nom! Je lui ai demandé pourquoi elle ne mentionnait pas l'ethnie, car cela semblait si important pour elle, et elle m'a dit que ce n'était pas nécessaire, puisqu'ils étaient tous noirs.
    
    J'étais une femme en couple, avec une éducation stricte. J'aurais dû lui dire qu'elle avait besoin d'un psychanalyste, sortir de là en trombe, et ne plus jamais lui adresser la parole, mais je n'ai pas pu. Au début, je pensais que c'était juste de la fascination, un truc qui empêche vos yeux de se détourner d'un spectacle d'horreur. Mais j'ai réalisé que j'étais vraiment déconcertée par la façon dont elle vivait cela. Elle ne pensait qu'au plaisir, qu'à ce qui lui était agréable. Cela m'a frappé en réalisant le contraste avec ma conception de la vie.
    
    Malgré ma pudeur, nos conversations ont commencé à tourner autour du sexe, de tout ce qu'elle avait, et que je n'avais pas. Elle me parlait de volupté, d'orgasmes à répétition, je lui répondais tendresse, amour de mon compagnon. À force de parler de sexe, d'avoir cette idée tellement en tête, mon copain en a évidemment bénéficié.
    
    Le soir, j'attendais avec impatience le moment d'aller au lit, et je l'ai parfois surpris en prenant l'initiative. S'il voyait le changement dans mon attitude envers le sexe, il ne l'a jamais mentionné, craignant probablement que je m'arrête.
    
    J'adorais mon copain, mais le sexe avec lui n'était pas aussi merveilleux que dans les récits de Marianne. Il travaillait ...
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