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Deux sœurs et un Coronavirus (6)
Datte: 15/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: airdepanache, Source: Xstory
... terminé." — Je serai toujours ta sœur, Émilie, lui répondis-je. "Mais je veux aussi être ton amoureuse, ta maîtresse, ta pute, ta femme." Scellé par un très long baiser, c’était aussi solennel qu’un serment, et nous nous sentions aussi liées que par une demande de mariage. Oui, c’était sans doute de la folie, mais dans un monde devenu fou, seuls les fous ont raison. Le tête-à-tête n’était pas tout à fait terminé. "J’ai encore un petit cadeau pour toi", dit-elle, posant un paquet bien emballé sur la table. — Mais comment est-ce que tu as pu organiser tout ça ? Où est-ce que tu as trouvé toutes ces choses ? — Pas en toute légalité, se contenta-t-elle de répondre, l’air mystérieux. Qu’est-ce que j’avais envie d’elle... — Mais moi, je n’ai rien pour toi, je ne peux rien t’offrir, lui dis-je avec regret. Elle hocha la tête. "Oh si. Ouvre le paquet. Avec ton cadeau, tu vas pouvoir me donner mon cadeau." Je m’exécutai, défis le papier coloré, ouvrit le carton, et y trouvai... un gode-ceinture, tout neuf, ergonomique, prêt à être utilisé. De surprise, ma mâchoire se décrocha. — Tu te rappelles que tu as promis de faire tout ce que je voulais ?... dit-elle, l’air faussement innocent. Oh oui, je me rappelais. Même si je n’avais pas prévu ça. Ma petite sœur voulait que je la baise avec cet engin. Malgré nos expérimentations de ces derniers jours, je n’avais pas imaginé ce genre d’activité pour nous deux, sans doute parce qu’il aurait été impensable de se ...
... procurer le matériel. Mais à présent que le gode était dans ma main, il n’y avait pas grand-chose que je souhaitais davantage que de m’en servir... Avance rapide. Nous étions dans notre chambre. Entre mille baisers, nous nous étions débarrassées mutuellement de nos robes. Elle était en face de moi, ma magnifique sœur, ma divine amante, magnifiée par ses dessous légers. J’avais envie de la baiser. Non. J’avais envie de la prendre. Elle s’assit sur le rebord du lit, je m’assis sur elle, pris sa bouche, enserrai son torse de mes cuisses, cherchai à faire fusionner nos entrejambes déjà moites. On balança sur les draps, laissant le champ libre à nos mains et à nos bouches pour exprimer toute leur créativité et toutes leurs envies. Nos soutiens-gorges et nos petites culottes ne restèrent pas en place bien longtemps, mais elle comme moi, nous tenions à garder bas et porte-jarretelles. Nos bouches s’enamouraient, nos seins se donnaient aux lèvres, nos corps s’offraient aux mains avec une joie et un abandon que nous n’avions encore pas connus auparavant, comme si cette étreinte scellait notre union. Lorsque je pénétrai ma jolie Lili de mes doigts, je trouvai une chatte prête à être prise. C’était brûlant, gluant, accueillant. Le moment était venu. Avec des tremblements dans les gestes, elle m’aida à enfiler mon gode-ceinture. Cela fut beaucoup plus facile que ce que j’avais imaginé, et à voir cette grosse chose de plastique noir dépasser de mon bas-ventre, je n’y trouvai ...