1. Jeu de rôle, disiez-vous ?


    Datte: 14/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... du bout de ton pied nu.
    
    — Chantal, ma chérie, veux-tu aider Déborah à enlever ces vêtements qui ne satisfont pas notre amie ?
    — Bien sûr, Aline, avec plaisir.
    
    J’ai bien saisi ton sous-entendu. Je déboutonne sans hâte le chemisier de Déborah et, sous prétexte de la disposer plus commodément pour le retirer et dégrafer sa courte jupe, je la fais se tourner face à Marie-Blanche. Celle-ci peut donc avoir une vue directe sur le buisson noir que j’ai déjà entrevu lors du repas. Elle le fixe sans embarras apparent, à peine une nuance rosée se remarque-t-elle sur ses joues. Moi, j’admire la silhouette fine de Déborah, sa peau brune, ses hanches étroites, son petit cul musclé.
    
    Je la laisse, vêtue du seul soutien-gorge, pour plier soigneusement son corsage, ma foi assez sobre et élégant, et sa jupette. Il me faut, je ne sais pourquoi, un peu plus de temps que nécessaire pour m’acquitter de cette tâche sans risque de faux plis.
    
    — Je ne serais pas une perle parmi les femmes de chambre, fais-je remarquer en manière d’excuse d’avoir prolongé le tête-à-tête des deux autres.
    — Je vous en prie, Chantal, nous ne sommes pas pressées, réagit innocemment Marie-Blanche.
    
    Notre bonne hôtesse a posé son verre. Elle s’est avancée sur son fauteuil pour approcher son visage de Déborah autant que l’autorise la bienséance. Elle garde les yeux sur les rondeurs du soutien-gorge pendant que je fais mine de me battre sans succès avec son attache.
    
    — Elle doit être coincée, observe Déborah ...
    ... en levant les bras à la verticale.
    
    Je comprends son invitation et dirige mes mains vers sa poitrine, ce qui finit d’ouvrir totalement mon peignoir kimono. Je suis presque collée à elle, effleurant son dos de mes seins pour dégager les siens des bonnets. Elle se recule sans doute légèrement pour m’aider, car notre contact est soudain plus franc. Elle s’appuie sur ma poitrine et je sens ses fesses musclées contre mon ventre. Leur fermeté et le soyeux de sa peau éveillent des frémissements sous ma touffe et dans mes mamelons. Je ne me presse pas pour libérer ses seins. Mes doigts en conque remontent et remplacent peu à peu la lingerie. Ils découvrent des tétons épais, durcis comme les miens, qu’ils quittent à regret.
    
    C’est à regret aussi que j’abandonne le corps de Déborah pour déposer le soutien-gorge sur ses vêtements. Une tiédeur bien connue s’est nichée dans ma grotte. Elle se communique à mes lèvres lorsque ton œil coquin me pousse à faire à présent le don convenu de mon kimono. Je m’en sépare rapidement et m’apprête à en couvrir Déborah, mais tu m’arrêtes d’un haussement de sourcils. Ni elle ni Marie-Blanche n’ont bougé, la plus jeune s’offrant impassiblement à l’examen qui fait briller les yeux de son aînée. Celle-ci lui demande d’un geste discret de tourner sur elle-même et apprécie visiblement la cambrure des reins avant de reposer un regard passionné sur le ventre plat, la jointure ombragée des cuisses, les poires agressives et les pointes dardées des seins. Le ...
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