1. Dressage d'une flic arrogante (2)


    Datte: 09/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    ... pourtant, ils déclenchent à nouveau en moi ce désir inébranlable qui me consume peu à peu. Pourtant nous devons retourner à notre patrouille, cela fait déjà trop longtemps que l’on est plus à notre poste. Il ne m’adresse plus un mot de toute la soirée et quand enfin je peux rentrer chez moi, je suis épuisée moralement. Passage à la douche obligatoire avant de m’écrouler sur mon lit, la tête pleine de contradictions.
    
    Demain, je vais à nouveau devoir l’affronter et ce duel devient exténuant. C’est de plus en plus difficile de résister à la tentation de m’offrir sans détour à cet homme si certain de son pouvoir. Mais je dois le faire. Pour prouver que je suis forte, que je sais résister à mes pulsions. Pourtant quand je ferme les yeux, je sens à nouveau sa main dans mes cheveux, ce qui déclenche un puissant frisson entre mes cuisses. Déterminée à ne pas me laisser submerger par mes propres fantasmes, je refuse même d’apaiser ce désir par mes propres moyens. Hors de question de me masturber encore en pensant à lui.
    
    Le lendemain, je me rends à la brigade comme si de rien n’était, avec une drôle de sensation au creux de la poitrine. Comme d’habitude, je passe par le vestiaire, qui par chance est désert à cette heure-ci, pour enfiler ma tenue. Ma nervosité se voit dans mes gestes précipités et maladroits, je fais même tomber mon téléphone au fond du casier. Au moment où ...
    ... je me baisse pour le ramasser, je sens une présence derrière moi. Je ne prends même pas la peine de me relever, je sens sa main se poser sur mes cheveux et mon corps entier frissonne à ce contact désormais si familier. Je détourne la tête et me retrouve face à la braguette déformée du Brigadier-chef Sokolov.
    
    Il l’ouvre et sort son membre déjà dressé, sans même m’adresser un seul mot. Stan passe son sexe sur mon visage et vient présenter son gland sur mes lèvres humides. Il va falloir faire vite pour ne pas être découverts, je n’ai pas le temps d’échafauder un plan pour garder le dessus sur lui. Je m’abandonne alors complètement à lui pour un instant que je sais éphémère, me servant de cette excuse pour justifier mon envie de céder. Il empoigne fermement ma chevelure et me plaque contre le casier. Là, il investit ma bouche sans aucune douceur, l’utilisant comme un vulgaire trou, pressé d’obtenir sa jouissance. Des larmes coulent sur mes joues mais peu importe, je reste résignée, forte. Je ne lui apporterai pas la satisfaction de me voir craquer. Dans un râle, il se finit en moi, déversant dans ma gorge ce nectar brûlant. Puis, toujours dans un silence méprisant, il s’écarte et retourne à son bureau, sans même m’adresser un regard.
    
    Je bouillonne tellement sa suffisance et son mépris me scandalisent. Je me relève, bien décidée à préparer une vengeance bien méritée. 
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