1. Dressage d'une flic arrogante (2)


    Datte: 09/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    ... autre n’en fait pas partie.
    
    — Je fais ce que je veux de mon cul, Brigadier.
    
    Il enrage. Sa prise dans mes cheveux est si forte qu’une vive douleur irradie mon cuir chevelu. Mais contrairement à ce que je m’attendais, elle ne fait qu’amplifier mon désir. Je suis peut-être folle mais je suis surtout bornée, autrement dit, je ne lui céderai rien de plus. De ma main qui entoure son sexe, j’accélère mon mouvement, si bien qu’il s’empresse de venir à nouveau le fourrer dans ma bouche pour en apprécier sa moiteur et sa chaleur. Yassine derrière moi commence à s’essouffler et j’entends à ses soupirs qu’il n’est plus très loin. Son sexe va et vient en moi et il a beau être d’une taille normale, il ne me fait rien en comparaison à ce que me procure Sokolov sans même le savoir. Je prends plus de plaisir à accueillir cette délicieuse verge au plus profond de ma gorge ! Je m’applique encore plus à ma tâche, voulant absolument qu’il craque enfin. J’y joue de ma langue et creuse bien mes joues, je fais de petits à-coups entrecoupés de subites gorges profondes qui le font cracher des mots obscènes. Mon autre main s’aventure sur mon bourgeon délaissé et le stimule sans douceur. J’imagine une seconde mon chef à la place du jeune, son sexe enfin en moi, me comblant parfaitement et soudain, je suis prise d’une puissante décharge, partant d’entre mes cuisses pour se propager dans tout mon corps. Je jouis avec une telle violence que je ne me rends pas compte que Yassine s’est lui aussi fait ...
    ... engloutir par la jouissance, remplissant la capote de sa semence collante.
    
    Sokolov me supplie une dernière fois de le laisser me prendre et c’est en le fixant droit dans les yeux que je dévore avec malice son bâton de chair en entier, allant jusqu’à coller mon nez à son aine. Il donne un coup de bassin et en un grondement, il explose en de longues giclées qui viennent s’écraser au fond de ma gorge. Il ne me relâche pas pour autant et je commence à suffoquer. Il attend encore juste une seconde puis se recule brutalement, vexé et irrité de s’être laissé ainsi prendre à son propre jeu.
    
    — Wouah c’était terrible, elle a une de ces chattes ! Accueillante à souhait, s’exclame Yassine en se rhabillant.
    
    — Dégage vite de là, le somme Sokolov, le regard plus noir que la nuit. Et t’as pas intérêt de parler de quoique ce soit, tu sais ce que je peux faire de ton petit trafic.
    
    — Oh chef, pas de soucis, dit-il d’un ton tout penaud. Je me tire, vous en faites pas.
    
    Puis il se tourne vers moi, qui peine à me remettre de ce moment si intense que je ne réalise pas encore ce qu’il vient de se passer. Il n’esquisse pas le moindre geste pour m’aider à me relever. Peu importe, nous savons très bien tous les deux qui à gagner ce soir. Même si dans ses yeux et au son grave de sa voix emplissant l’escalier, je peux deviner à ses simples mots que la prochaine manche risque d’être serrée .
    
    — Souris, vas-y. Tu ne sais pas ce qui t’attend.
    
    Ces quelques mots sonnent comme une menace et ...
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