1. Dressage d'une flic arrogante (2)


    Datte: 09/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    ... besoin de temps pour réfléchir ?
    
    — D’accord, accepté-je d’une voix pleine d’assurance.
    
    Il sourit, victorieux et je peux lire dans ses yeux sombres qu’il ne compte pas attendre plus longtemps avant de réclamer son dû. Son visage s’approche du mien. Il mord mon cou, le lèche, me refuse ce baiser que j’attends désespérément. Contre ma cuisse, je sens la rigidité de son désir et j’ai de plus en plus de mal à cacher mon excitation.
    
    — Allez, suis moi, nous allons aller dans un coin tranquille, me relâche-t-il.
    
    Mes jambes le suivent sans discuter et il m’emmène dans un hall d’immeuble où se tient un jeune, nonchalamment appuyé sur le mur, en train de se rouler un joint.
    
    — Oh, Brigadier, je savais pas que vous alliez venir, se défend le jeune.
    
    — Je suis pas là pour ça Yassine, mais pour elle, maugrée-t-il en me désignant du doigt.
    
    — Pas mal la go. Vous allez la faire tourner ?
    
    — J’ai juste besoin d’un coin peinard où je pourrais la baiser tranquille. C’est blindé de caméras partout et tes petits copains ont toujours leurs portables à la main. Fais le guet cinq minutes, je lui ruine sa petite bouche et après on te laisse.
    
    — Wah la vache, j’aurais kiffé voir ça ! s’exclame Yassine.
    
    Je suis sidérée qu’il me traite de la sorte. La colère reprend le pas sur l’excitation et je décide de le provoquer. Hors de question de me laisser humilier. Je ne vais pas me laisser faire. Je fais un clin d’œil suggestif au jeune et lui propose sans détour :
    
    — Et bien, ...
    ... viens avec nous. Quand il y en a pour un, il y en a pour deux.
    
    — Elle est chaude votre collègue chef, lance-t-il à un Stan décontenancé.
    
    — Une vraie petite salope c’est certain, gronde-t-il entre ses dents. Mais qui va surveiller si tu nous suis ?
    
    L’air qu’il arbore sur son visage est plein de colère et de déception. Infime victoire qui me ravit tant ! Mais ma proposition ne semble pas non plus le choquer, ce qui me fait frissonner d’angoisse.
    
    — On peut monter au dernier étage, s’empresse de suggérer le jeune. Y a jamais personne et on entend tous ceux qui montent.
    
    — Ça m’a l’air raisonnable, souris-je en débutant l’ascension des marches.
    
    J’ondule légèrement des hanches, exagérant juste assez chacun de mes pas et je sens leurs regards avides dévorer ma croupe sans la moindre retenue.
    
    — Alors, vous venez ? Dis-je en me retournant.
    
    Ils sortent de leur état de torpeur et viennent à ma suite. C’est fou comme c’est bon ce pouvoir de séduction, cette sensation de maîtriser les choses, d’avoir le pouvoir. Mais ce qui est encore plus jouissif, c’est l’expression de Sokolov. Ce petit tic d’énervement qui fait tressaillir sa mâchoire est terriblement sexy. Nous gravissons ces escaliers à un rythme soutenu et bientôt nous voilà sur le dernier palier. Ni une ni deux, le brigadier-chef m’ordonne de m’agenouiller et sort son membre à demi érigé. Si appréhension j’avais, la vue de cette colonne de chair me rend toute chose et j’ai une irrésistible envie d’y goûter. Mes ...
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