1. Ma voisine, s'appelle Evelyne (1)


    Datte: 05/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Jibwakku, Source: Xstory

    ... qui je couche depuis.
    
    — D’accord, mais tu ne sais pas pour moi.
    
    — Je te fais confiance, t’es jeune. T’as pas envie de ruiner ta vie avec des conneries d’IST. Et puis, tu es de nature prévoyante, je te connais un petit peu tout de même. (Elle a bien raison.)
    
    — C’est donc sans risque et puis je ne peux plus concevoir d’enfant, donc on est tranquille de ce côté-là. Allez, viens maintenant.
    
    Sur ces mots, je m’exécute. Je me rapproche d’Evelyne et pendant que je l’embrasse fougueusement, je m’insère en elle. Cinq ans que je baise, depuis mon dépucelage, mais c’est mon premier rapport non protégé. Mais je sens que nous sommes tous deux en sécurité. L’intérieur de son vagin est si doux et chaud. C’est si agréable, pas mieux, mais très bon. Je commence alors une pénétration lente et non profonde. Seuls mon gland et la moitié de ma verge sont en elle. Evelyne m’enlace. Ses bras et ses jambes m’encerclent totalement. J’ai comme l’impression qu’elle cherche à m’enfoncer encore plus en elle. Je tente de lui résister.
    
    — Qu’est-ce que t’attends..., vas-y, enfonce-toi !
    
    — Heu...
    
    — Non, ne me dis pas que c’est ça ?
    
    — De quoi ?
    
    — Bon, je vais te rassurer. Tu ne vas pas me casser parce que tu vas vite et profond. On a peut-être quarante ans d’écart, mais dis-toi que c’est comme si tu baisais une de tes copines. Accélère, maintenant.
    
    Mes doutes dissimulés, je pénètre alors Evelyne plus rapidement et plus profondément.
    
    — Ouais, comme ça, voilà... C’est ...
    ... bon...
    
    Je n’ai désormais plus peur de lui faire mal, sous prétexte de notre différence d’âge. Je lui assène alors des coups de reins de plus en plus puissants.
    
    — Oui, vas-y. J’aime les coups de bite rapides et puissants au fond de moi. En plus, avec une bite de jeune, c’est si bon.
    
    — Oh putain, oui que c’est bon.
    
    — Ha... ha... oui !
    
    — Ha, ce que vous êtes bonne putain, j’en reviens toujours pas, ha... ha...
    
    — Tu m’as bouffé la chatte, tu m’as fait jouir et t’es en train de me pilonner la chatte. Je pense que tu peux arrêter de me vouvoyer, là.
    
    — Ha... comme tu voudras, Evelyne !
    
    Je crie alors son prénom en lui donnant un puissant coup de reins. Maintenant, je la pénètre plus vite, plus fort et plus profondément. Je réponds aux désirs d’Evelyne. C’est fini, je ne me vois plus en train de baiser une femme plus vieille que moi, je baise une femme, tout simplement. Cette position est pas mal, mais il semble que ni Evelyne, ni moi ne soyons vraiment aussi à l’aise. Je le lui fais savoir.
    
    — C’est pas désagréable, mais je crois que ça serait mieux si tu venais sur moi, non ?
    
    — Tu as raison.
    
    Nous changeons alors de position, pour qu’Evelyne puisse me chevaucher. Elle n’y va pas de main morte, ou plutôt de chatte morte. À peine que mon gland frôle son intimité, qu’elle introduit ma bite en elle en une demi-seconde. Je le sens, qu’elle aime les assauts puissants. J’essaie de lui en donner, mais elle me surpasse. Elle voit que j’essaie de prendre le contrôle.
    
    — ...
«12...789...14»