Ma voisine, s'appelle Evelyne (1)
Datte: 05/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Jibwakku, Source: Xstory
... Elle se cambre de plus en plus.
— Ha... Putain, oui. C’est trop bon ce que tu me fais là. Vas-y, continue...
Durant cette première partie de cunnilingus, Evelyne mouille déjà pas mal. Je continue alors bien volontiers, mais en changeant de technique. Je retire alors ma langue d’elle et arrête de caresser son clitoris, pour la laisser respirer 5 à 10 secondes. Je décide de tout simplement inverser les rôles de ma langue et de mes doigts. Evelyne a alors à peine le temps de reprendre sa respiration, que je la pénètre avec deux de mes doigts, avant de lécher son clitoris. Ce que j’aime entendre, c’est le bruit de mouille de mes doigts, traversant et fouillant son intimité. Ça me remplit d’excitation. Ma langue s’occupe donc de son clitoris. Je lèche de façon circulaire, de bas en haut, de gauche à droite. J’effectue un léger souffle chaud dessus, je pince, je le mords doucement. Bref, je ne laisse rien au hasard. Cette stimulation semble beaucoup plaire à ma partenaire qui gémit de plus en plus fort.
— Ah... ah... ah... Oh putain, oui, c’est trop bon, comme ça.
Je sens que le corps d’Evelyne commence à trembler. Elle se tortille dans tous les sens et ne cesse de se cambrer. Je fais alors ce qu’il faut pour ne pas la faire patienter plus longtemps. Mes doigts et ma langue se synchronisent parfaitement, jusqu’à provoquer la jouissance d’Evelyne.
— Ah... ahh... oui, oui, putain. AHHHHHH PUTAIN !!!!! Ha... ha... ha...
Sur ces mots, un jet de cyprine m’éclabousse le ...
... visage. Ce n’est pas pour me déplaire, j’ai toujours aimé goûter la matérialisation de la jouissance féminine. Evelyne reprend peu à peu ses esprits et retrouve sa respiration. Elle ouvre à nouveau les yeux et me voit en train de me lécher les lèvres, me délectant de sa sécrétion. Ni une ni deux, elle prend ma tête entre ses mains, me rapproche d’elle et me roule une pelle fantastique. C’est un baiser bien long et bien baveux. Elle est en train de se goûter elle-même, si j’ose dire. Je crois que c’est ça qui l’excite le plus. Lorsque ce baiser se termine, elle me regarde fixement.
— Putain, ce que tu m’as fait là, c’était...
— J’en suis ravi. Je kiffe donner des cunni.
— Hum... ça se voit. Bon allez, je suis bien chaude, là. J’ai envie d’un bon coup de bite.
— À votre service, madame.
Ce court échange terminé, nous finissons de nous déshabiller pour nous retrouver dans le plus simple appareil. J’apprécie grandement la vue d’une femme nue. Je n’arrive toujours pas à croire qu’Evelyne me fasse un tel effet. Je ne vois même pas le corps d’une femme âgée, juste celui d’une femme désirable. Evelyne, assise sur le canapé et les jambes écartées, me fait signe de venir. Je sors alors une capote de mon portefeuille, que je m’apprête à déballer.
— Qu’est-ce que tu fais là ?
— Bah, je fais en sorte de nous protéger.
— Depuis que j’ai repris une vie sexuelle aussi active, je me teste très régulièrement. Pas plus tard qu’hier, pour te dire, et t’es le premier avec ...