1. Ma voisine, s'appelle Evelyne (1)


    Datte: 05/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Jibwakku, Source: Xstory

    ... fais de l’effet, dis-moi.
    
    — Euh oui, je vous trouve très excitante, mais on ne peut pas.
    
    — Détends-toi, un peu. Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas ? Nous sommes entre adultes, nous sommes seuls. Et nous avons envie.
    
    — Oui mais...
    
    — Arrête avec tes « mais ». Je sais que c’est juste un moyen pour te convaincre du contraire. Je sens, à mon toucher, que t’es très excité. Et puis, tu crois que je ne t’ai pas vu, le mois dernier, me mater avec ma robe rouge ?
    
    — Quoi ?!
    
    — Ah tu avoues, hein...
    
    — Je suis désolé, je...
    
    — T’excuse pas. Ça m’a fait plaisir qu’un homme de vingt ans me regarde comme ça. Pourquoi crois-tu que j’ai choisi ma chambre en fonction de la tienne.
    
    — Vous voulez dire que ce n’est pas le fruit du hasard ?
    
    — Je voulais réussir à t’exciter. Faire en sorte que tu aies envie de moi.
    
    — Je comprends mieux.
    
    — Et comme je te voyais sans arrêt lorgner sur mes seins, pendant tout ce temps, il ne me restait plus qu’à attendre le bon moment pour passer à l’acte. D’ailleurs, en parlant de mes seins, touche-les !
    
    Evelyne ne me laisse pas le temps de répondre. Elle prend une de mes mains et la place sur sa poitrine. Toucher cette poitrine, avec ma paume, à travers le tissu de son chemisier est fantastique. Généralement, je pelote mes copines via leur soutien-gorge ou directement sur la peau. Le faire à travers le tissu est une nouvelle sensation. Je peux laisser travailler mon imagination. Percevoir, grâce au toucher, la forme de ...
    ... ses seins. Elle me laisse la toucher partout. Faire ce que je veux avec mes mains. Je caresse, je palpe, je malaxe, je tente de visualiser et de matérialiser sa poitrine dans mon esprit. Je sens ses tétons pointer sous son haut. Signe d’excitation ou de simple frisson ? Allez savoir. En tout cas, ça me permet de donner la forme finale à ce que j’imagine. C’est parfait.
    
    — Ils te plaisent ?
    
    — Oui, beaucoup.
    
    — J’imagine que tu as envie de les voir.
    
    — Pas tout de suite. Avant, j’aimerais glisser ma main sous votre haut, pour véritablement les sentir.
    
    — Fais-toi plaisir.
    
    Je décide alors de toucher ses seins directement à travers la peau et ça rejoint ce que je m’imagine. Ils sont doux, fermes. J’ai 22 ans, elle en a 62, je ne m’attends pas à toucher les mêmes seins qu’une fille de mon âge. Ça me surprend un instant, mais sans plus. Une nouvelle fois, je caresse, je palpe, je malaxe. Ensuite, je caresse du bout des doigts ses tétons, tout en les pinçant légèrement. Elle laisse échapper un léger gémissement. Maintenant que je me suis bien familiarisé au toucher, il est temps de passer au visuel. Je déboutonne son chemisier, qui libère sa poitrine. Quelle belle poitrine ! Je dois dire que mon imagination s’est bien débrouillée. Une poitrine ronde, ferme. Avec des tétons ni trop gros, ni trop petits et une aréole parfaitement circulaire qui entoure le tout. Cependant, ils sont légèrement plus gros que dans mon imagination. Ce n’est pas pour me déplaire. Toutes les ...
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