Alicia et son papa (33) - Histoires de Sexe

Alicia et son papa (33)

... nuque, bouche grande ouverte et regard au plafond.

— Bien, commenta Raul. Mais je n’apprécie pas que la souillon que tu es jette ses vêtements n’importe où.

— Je suis désolée, Monsieur, je vous prie de m’excuser.

Le géant tourna autour de moi lentement. Il claqua mes fesses plusieurs fois, pinça et tordit mes tétons turgescents avant de glisser deux doigts dans ma fente offerte. Je gémis, il les enfonça brusquement en moi de toute leur longueur et m’obligea à me dresser sur la pointe des pieds, haletante et au bord de l’orgasme.

— Silence, Ali. Tu mouilles comme une chienne. Tu ne vas pas jouir, quand même ?

— S’il vous plaît, Monsieur. J’aimerais tant.

— Il n’en est pas question, tu entends ! Je te l’interdis.

Ses doigts, trois à présent, plongeaient dans mon vagin jusqu’à la jointure et barattaient mon fourreau liquide, pendant que son pouce faisait rouler mon clitoris exacerbé. Un orgasme montait dans mes lombes, lentement et inexorablement. Je ne pouvais pas jouir, je n’en avais pas le droit. Je me tordais en vain pour échapper à la main qui fouaillait mon sexe en feu, mordais mes lèvres, ma langue.

— Tu veux jouir ? Pas question ! rugit Raul en retirant ses doigts trempés de cyprine.

Je criai de douleur sous la violence du coup de ceinture sur mes fesses que papa venait d’asséner. Il recula aussitôt après en caressant le cuir épais.

— C’était pour faire retomber la pression, expliqua-t-il. Mais j’ai envie de marquer ton petit cul, il ne ...

... porte plus aucune balafre.

— Allez-y, Monsieur. Frappez à votre convenance.

Je n’en reviens pas d’arriver à dire un truc comme ça. Et le pire, c’est que j’en ai envie d’être marquée durement à grands coups de ceinture. Par papa, et ensuite par Raul. Des marques profondes et durables qui indiqueront que je leur appartiens, que mon corps est entièrement et irrévocablement leur. Ma jouissance est à eux, comme ma frustration, mes larmes et ma douleur.

Papa me porta une vingtaine de coups qui me laissèrent pantelante de douleur. Puis il tendit sa ceinture à Raul qui le remercia d’un mouvement de menton avant de me frapper à son tour. Des coups rapides, secs et appuyés qui me firent sangloter, mais je ne bougeai pas malgré les frémissements et tremblements de mes jambes qui me portaient à peine à la fin de la punition. Ensuite, papa étala de l’onguent sur les boursouflures entrecroisées qui couvraient mes pauvres fesses qu’il massa délicatement.

— Merci Monsieur, balbutiai-je d’une voix chevrotante.

— Merci aussi, Alicia, de ton offrande. Maintenant, je vais t’enculer. J’espère que tu n’as pas trop perdu de souplesse, parce que je n’ai pas l’intention de te faire de cadeau. Je vais être brutal et je compte bien te faire hurler tellement je vais te péter la rondelle.

— Moi, j’ai deux cadeaux, intervint Raul. Un beau cadenas en acier, et du lubrifiant. Je crois que tu en auras besoin, parce que ton cul va se faire démolir une bonne partie de la nuit.

— Merci ...