1. Une exposition en appelle d'autres


    Datte: 04/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation rasage, nopéné, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... des frissons instinctifs que provoque chez Marie-Blanche le contact des doigts sur ses lèvres intimes. Elle dispose ensuite l’élastique de la taille en bonne place et lisse le fin tissu sur les fesses du plat de la main pour éviter tout risque de faux pli désagréable ou disgracieux. Satisfaite du résultat, elle se redresse pour envelopper d’un coup d’œil son œuvre en reculant d’un pas.
    
    — Madame est prête, annonce-t-elle laconiquement.
    — Merci, Mademoiselle.
    
    La réponse a fusé, par politesse ou par réflexe. Notre hôtesse, aussi charmée que déstabilisée, estime nécessaire de justifier son désarroi.
    
    — Pardonnez-moi Aline. Je n’ai pas l’habitude de ce genre d’att… d’attention. Euh, je veux dire d’une telle… sollicitude. Enfin, vous voyez… aussi proche…
    
    Elle hésite, cherche ses mots. Pour la première fois, on la sent vraiment décontenancée.
    
    — Mais ce n’est là que la base du travail pour une femme de chambre bien formée, je vous le garantis ! C’est le minimum que vous puissiez exiger de Sandrine, ma chérie.
    
    Ta voix calme la rassure, elle se détend, retrouve une attitude plus conforme à sa nature.
    
    — Il faut que votre bonne comprenne par l’exemple comment elle doit procéder, insistes-tu. Pour cela, nous allons répéter, et ce sera l’opportunité pour nos apprenties de s’exercer.
    
    Marie-Blanche réalise que sa petite cousine est justement l’une de celles que tu qualifies d’apprenties. La pensée qu’elle va devoir s’abandonner entièrement à ses mains la rend à la ...
    ... fois inquiète et honteusement excitée. Elle ne veut pas avoir l’air de céder facilement à la tentation.
    
    — Mais Aline, je pensais qu’une fois suffirait.
    — Il serait présomptueux de l’espérer, vu ce que j’ai constaté des pratiques de Sandrine, ironises-tu. Clémence, vous passerez la première. Voyons vos progrès.
    
    Les apparences étant sauves de son point de vue, la morale n’interdit pas, semble-t-il, à une dame de qualité de s’adonner aux exigences de la pédagogie, quelles qu’elles soient. Marie-Blanche accueille donc sa nouvelle soubrette avec un franc sourire.
    
    — Je suis entièrement à vous, Mademoiselle. Faites donc votre exercice.
    
    Le retrait du soutien-gorge se passe sans problème. Tout au plus pourrait-on noter un mauvais calcul de la distanciation physique entre le buste de l’une et le dos de l’autre. Les seins avantageux de Clémence sont en effet comprimés au-delà du nécessaire contre les omoplates de son mannequin vivant pendant qu’elle dégage en douceur les bonnets de la poitrine. Peut-être un certain raffermissement de cette dernière a-t-il aidé à cette bonne exécution.
    
    Pour le slip, tout commence bien. L’élastique est délicatement éloigné de la peau et la lingerie soigneusement abaissée sur les hanches. Clémence s’est concentrée sur sa position pour se tenir à mi-corps de Marie-Blanche, plus grande de taille que Sandrine. Sur ce point elle mérite des éloges, mais ta remarque la surprend.
    
    — Vous oubliez encore quelque chose, Mademoiselle.
    — Pardon, Madame ...