1. Une exposition en appelle d'autres


    Datte: 04/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation rasage, nopéné, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... toutefois, ce pouvait ne pas être trop long, chère Aline. Malgré mon plaisir de vous être agréable, je commence à ressentir les appels de Morphée, murmure-t-elle.
    — Nous irons au lit tout de suite après, je vous le promets.
    
    Si tu donnais un double sens à cette réponse, il s’estompe sous ton sourire enjôleur et complice. Rassurée, elle te laisse la guider jusque devant le canapé, sur lequel tu te poses en m’invitant à t’y rejoindre d’un petit tapotement de la main. À Marie-Blanche d’éprouver maintenant l’inconfort du sujet d’exercice dans l’attente de la première candidate que tu vas convoquer.
    
    — Sandrine, montre-moi comment tu as l’habitude de déshabiller Madame.
    
    Toujours attentive à tenir ses tétons à distance du dos de sa patronne, Sandrine dégrafe l’attache sans difficulté. Lorsqu’elle fait glisser simultanément les bretelles, l’absence de soutien provoque un affaissement de la poitrine aussi soudain que gênant. Marie-Blanche ne voit d’autre ressource que de porter, confuse, les deux mains à ses seins, le soutien-gorge lamentablement retenu aux plis des coudes. Tu en as vu assez, tu secoues la tête.
    
    — Non, Sandrine, non. Remets-le en place, s’il te plaît. Déborah, voulez-vous lui montrer ?
    
    Le désappointement de Sandrine accroît sa maladresse. Elle oublie de bien positionner les bretelles, se bat pour refermer l’agrafe, et oblige sa maîtresse à intervenir elle-même pour que la lingerie tienne à peu près correctement en place.
    
    Déborah l’écarte ...
    ... gentiment en lui proposant d’observer les gestes qu’elle décompose pour faciliter la démonstration. Une main lui suffit pour faire sauter le fermoir. Elle se rapproche ensuite assez près pour passer un bras sous la poitrine de Marie-Blanche, tandis qu’elle fait descendre les bretelles l’une après l’autre. Sans se préoccuper du contact physique, elle glisse l’autre bras pour soutenir de ses mains les deux bonnets et les retirer lentement afin de laisser les seins reprendre en douceur leur position naturelle.
    
    Malgré le détachement volontaire des étapes, l’ensemble n’a pas plus duré que la tentative malheureuse de Sandrine, et Marie-Blanche s’est retrouvée dépoitraillée sans presque s’en apercevoir. Un vague sourire approbateur éclaire son visage. Peut-être sa surprise en sentant les tétons de Déborah contre son dos y contribue-t-elle. Quand vient le tour de la culotte, une petite crispation se devine néanmoins.
    
    Déborah est à présent accroupie légèrement de biais, genoux serrés, le front à hauteur des reins de son sujet. Elle élargit et abaisse légèrement l’élastique de la taille sur les hanches pour dégager le haut de la culotte. Puis elle engage le bout des doigts de chaque côté du voile pour l’écarter des fesses et répète son geste sur le devant afin de prévenir toute adhésion du gousset aux lèvres, sans souci d’en toucher les bords au passage. Ainsi rassurée sur la descente correcte du sous-vêtement, elle le fait glisser rapidement le long des jambes. En deux temps, trois ...
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