1. Vacances dans le Gard (1)


    Datte: 02/05/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: jeremie43, Source: Xstory

    ... oui, c’est vrai ! s’écria-t-elle. Je n’aurai jamais le temps de tout faire ! Allez, vite !
    
    Et la voilà en mode tornade, commençant à ranger tout ce qu’elle trouvait.
    
    — Commence à y aller, lui lança alors Carole, Thomas et moi on va ranger et rentrer doucement avec le petit, comme ça, quand on arrivera, tout sera prêt et je lui donnerai son repas. Tu seras tranquille et à l’heure pour ta télé !
    
    — C’est vrai ? Super ! Mais ne tardez pas, Jules aura bientôt faim. A tout de suite.
    
    Aussitôt dit, aussitôt fait ! Béa était déjà sur le chemin, marchant à grandes enjambées, nous laissant seuls, Carole et moi, avec le petit Jules qui continuait à jouer tranquillement. Cette proposition de Carole, qui nous a permis de nous retrouver seuls sans Béa, était sans arrière-pensée. D’ailleurs, Carole commençait déjà à prendre la relève de sa fille et poursuivit le rangement de nos affaires. Ce nouvel instant d’intimité en presque tête-à-tête avec ma belle-mère réveilla chez moi le désir éprouvé quelques jours auparavant. Je la déshabillai du regard, elle avait la peau couverte de minuscules gouttes de sueur. J’entamai alors la discussion :
    
    — Il fait de plus en plus lourd non ?
    
    — Oui, heureusement que nous sommes au bord de la rivière et à l’ombre, car l’air est de plus en plus irrespirable !
    
    — Vous ne vous êtes pas baignée ?
    
    — Non voyons, tu as bien vu ! De plus, nous n’avons pas prévu nos affaires !
    
    — Tu n’as pas envie d’une petite baignade avant de partir ? ...
    ... »
    
    Comme la dernière fois sur le balcon, le vouvoiement habituel que j’ai pour ma belle-mère disparaissait lorsque mes intentions devenaient plus intimes. Carole me regarda alors, avec beaucoup d’incompréhension. Je continuai :
    
    — Carole, profite de ce dernier instant, je finis de ranger.
    
    Elle me regarda comme si ce que je disais n’avait aucun sens.
    
    — Je n’ai pas de maillot, Thomas !
    
    — Il n’y a personne, je range, j’installe Jules dans la poussette et lorsque tu sors, tout est prêt pour partir.
    
    Elle me sourit, regarde autour d’elle et me dit :
    
    — Et en face ! C’est quoi peut-être ?
    
    Finalement aujourd’hui, elle était plus retors à m’obéir que l’autre jour sur le balcon. Dans tous les cas, j’étais trop engagé dans cette discussion pour abandonner. En face, il y avait un vieux couple assis sur des chaises pliantes. C’était les derniers locataires de l’autre berge, leur camping-car garé juste derrière laissait à penser qu’ils n’allaient pas partir tout de suite.
    
    — Je sais, j’ai vu, mais vu leurs âges et leurs tenues, je ne crois pas qu’ils vont mettre un pied à l’eau pour venir protester. Peut-être même qu’ils ne vont s’apercevoir de rien et finir tranquillement leur sudoku !
    
    Carole me regarda pantoise. La défiant du regard, je lui lançai :
    
    — Alors, il ne fait pas assez chaud, ou peut-être as-tu trop peur ?
    
    Je vis alors ces yeux pleins de défi ! J’avais touché là où il fallait. J’imaginais très bien ce qu’elle pouvait se dire à ce moment-là dans sa ...
«1234...»