1. Vacances dans le Gard (1)


    Datte: 02/05/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: jeremie43, Source: Xstory

    ... il y a ma mère qui se baigne à poil ! Si vous voulez, je l’appelle vous pourrez la mater et peut-être même vous videz les couilles devant elle !
    
    Instantanément, leurs deux têtes se tournèrent dans un même mouvement vers la rivière.
    
    — La vieille là ? Elle est d’accord pour ça ?
    
    — Si tu as quelque chose pour moi, oui !
    
    Il sortit alors de la poche de son jogging une barrette complète de shit, en cassa un bout et me le tendit. Je le récupérai dans ma paume. Puis je me tournai vers la rivière et je criai :
    
    — Carole ! Carole !
    
    Carole me regardait. Il n’y avait que sa tête qui sortait de l’eau. Le couple de petits vieux me regardait aussi depuis l’autre rive, mes cris les ayant sortis de leurs lectures.
    
    — Carole, viens ! ajoutai-je, joignant le geste à la parole.
    
    Ma belle-mère n’osa pas bouger.
    
    — Allez, viens, viens !
    
    Réitérai-je, toujours en faisant de grands gestes du bras.
    
    Devant mon insistance, Carole se releva et sortit doucement de l’eau pour venir dans notre direction. En face, Madame découvrit la nudité de la baigneuse et à côté de moi, les deux jeunes réalisèrent la véracité de mes propos. Carole arriva vers nous, ses yeux me lancèrent des éclairs, décidément le temps est à l’orage.
    
    — Maman, ces deux jeunes hommes ont eu une longue et dure journée, je leur ai proposé de se rincer l’œil et d’évacuer toute cette pression ! Tu veux bien rester ici devant eux pour te sécher au soleil ? Merci.
    
    Avant même que Carole n’ouvrît la bouche, les ...
    ... deux minets sortirent leurs bites par-dessus leurs joggings et commencèrent à se masturber.
    
    Tous en commençant à redescendre vers la berge, je lançai :
    
    — Maman, je vais chercher les affaires et le petit et on y va ! OK ?
    
    — OK, répondit Carole en me regardant un peu ahurie.
    
    Pendant que je retournai près de Jules, les autres s’astiquèrent frénétiquement, reluquant Carole droite et immobile plantée devant eux. En face, Monsieur s’était levé et sa mégère à côté le vilipendait, l’incitant à intervenir tout en vociférant des insultes et des « mais ce n’est pas possible ! Qu’est-ce que c’est que ça ?... »
    
    J’arrivai auprès de Jules, j’attrapai le grand sac et avec la poussette, je remontai en direction du chemin. Il me fallut un peu plus de temps pour remonter, car la poussette n’était pas très pratique sur ce terrain. Une fois arrivé en haut, mes yeux se portèrent sur Carole et les deux jeunes, pile au bon moment. Le plus jeune déchargea sur la cuisse et le ventre de ma belle-mère. Des jets puissants dignes d’un ado en rut. L’autre se branlait toujours, mais avait son autre main sur un des seins de Carole, qui a mon grand étonnement se laissait caresser. Celui qui venait de finir son affaire, remballa son matos et retourna près du scooter. Il ne restait plus que le balèze. Je le regardai faire, il profitait clairement de la situation et pelotait plus Carole qu’il ne s’astiquait vraiment ! Je lançais alors :
    
    — Maman, tu as bientôt fini ? Il faut qu’on bouge, l’heure ...
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