1. Vacances dans le Gard (1)


    Datte: 02/05/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: jeremie43, Source: Xstory

    Ma belle-mère, ma femme et moi !
    
    « Merci à Charlotte83 sans qui ce texte ne serait pas ce qu’il est »
    
    Le week-end s’est terminé tranquillement sans qu’aucune allusion sur les événements de samedi ne vienne troubler la quiétude de ce début de vacances. Hugo et sa petite famille ont repris leur route dimanche au soir ; nous nous retrouvons donc de nouveau en petit comité : ma belle-mère Carole, mon épouse Béatrice, notre fils Jules et moi.
    
    [ Mon petit Thomas, réalises-tu ce que tu viens de vivre ? ]
    
    Voilà ce qui résonnait dans ma tête depuis 48 heures. Heureusement que j’avais une preuve sur mon téléphone ! Sinon, je suis persuadé que j’en serais arrivé à douter de moi-même.
    
    Dès que Carole entra dans mon champ de vision, mon attention fut totalement centrée sur elle ! C’est comme si ces instants, je les vivais au ralenti. Même les discussions étaient en « slow-motion ». Plusieurs fois, j’ai été pris en flagrant délit de rêvasseries. Carole, elle, était radieuse, souriante, pleine de vie. Sans pour autant faire comme si de rien n’était, aucun malaise ne vint troubler nos lendemains. Si bien que de façon totalement tacite, ni elle ni moi, n’éprouvions le besoin d’engager une discussion.
    
    Ce deuxième chapitre débute le mardi suivant. Comme précédemment, j’étais loin d’imaginer la tournure des événements qui se préparaient lors de cette première semaine complète dans le Gard.
    
    Juste après la sieste de Jules, sur le coup des 16 h, nous sommes tous partis finir ...
    ... de profiter de cette belle journée ensoleillée au bord de la rivière. À peine 1 kilomètre et demi de marche sur le chemin poussiéreux et nous nous sommes installés sur notre petite plage de sable habituelle. C’est quelque chose de prisé ces quelques mètres carrés de sable dans cette région de galets. Il n’y avait personne de notre côté de la rivière, il faut dire que l’accès n’est pas des plus connus. Par contre sur l’autre rive, il y avait un peu plus de monde, cependant, la journée était bien entamée et la plupart des gens étaient sur le départ.
    
    Nous avons déplié nos nattes, Jules est sorti de sa poussette et jouait avec le sable et des petites pierres au bord de l’eau. Béa, Carole et moi, nous relayions pour le surveiller. Bref, cette fin d’après-midi s’écoulait comme cette rivière : doucement, calmement, mais sûrement. Le seul regret que j’avais, c’était que nous n’avons rien pris pour nous baigner. Même si je pourrai profiter de la piscine en rentrant, j’aurais bien piqué une tête ici.
    
    L’air devenait de plus en plus lourd, il ne serait pas étonnant que la soirée vire à l’orage, d’autant qu’un petit vent s’était levé et agitait maintenant le sommet des arbres. C’est Béatrice qui siffla le signal du départ :
    
    — J’ai laissé du linge dehors et je n’ai rien préparé pour le repas de Jules ce soir. On devrait commencer à rentrer !
    
    — En plus, tu ne voulais pas regarder les débuts de la nouvelle série à la télé ? C’est ce soir non ? fis-je, nonchalamment.
    
    — Putain, ...
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