1. L'histoire se répète


    Datte: 28/04/2023, Catégories: fh, hplusag, couleurs, frousses, couple, grossexe, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... endiablée faisant bondir ses gros seins. C’est à ce moment que l’amoureux revenait des champs, voyait la scène et fou de rage menaçait d’embrocher tout le monde avec sa fourche. Pour le calmer, la fille le suçait, toujours empalée, puis l’invitait à utiliser l’entrée disponible. Si l’on n’entendait plus l’agneau bêler, c’est cette pauvre fille qui le remplaçait en dix fois plus fort, labourée par les deux queues colossales qui œuvraient jusqu’à l’éjaculation. L’aventure du bureau avait décidé Alice à montrer ces formidables jets de sperme.
    
    — Surtout, évitez le public, avait-elle recommandé.
    
    Le spectacle fut exceptionnel. On connut plusieurs évanouissements et ce que l’on appelle aujourd’hui une « standing ovation » de près d’un quart d’heure. La recette fut à la hauteur de l’enthousiasme, le cul rapportait plus que le coton. Au grand étonnement d’Alice, Jeanne la vachère et vedette du spectacle demanda comme récompense l’autorisation de construire une chapelle dans la plantation. Elle était baptisée, catholique comme beaucoup de ses compagnons d’infortune, et l’interdiction de sortie les privait de culte. On choisit un petit tertre rocheux, inculte donc, à peu près à mi-chemin entre les deux habitations. Les solides planteurs eurent tôt fait de niveler un espace suffisant, utilisant les cailloux provenant des rochers arasés pour combler les creux. Ils demandèrent ensuite où ils pourraient trouver de « la terre qui colle », c’est à dire de l’argile. On fit appel à ...
    ... Charlotte, de la plantation voisine, qui avait semble-t-il une zone de marécage. Elle accepta volontiers et les noirs trouvèrent, ravis, tout ce qu’ils désiraient : de l’argile mais aussi des roseaux en quantité. Ils mélangèrent argile et paille pour faire des sortes de briques séchées au soleil comme les brassées de roseaux.
    
    Alice admiraient ces gens qui continuaient de s’échiner après de longues journées de travaux aux champs. Ils montèrent les murs pendant des jours avec du mortier d’argile et sable, laissant de nombreuses ouvertures en ogive, firent une voûte de bois et couvrirent avec une épaisse toiture de chaume. Les murs furent enduits à la chaux, dedans comme dehors. La double porte d’entrée était surmontée d’une extension du mur percée d’un trou pour y placer une cloche. Le sol d’argile crue, une fois bien sec, fut passé à la cire d’abeilles avant d’y installer des bancs et un autel. Le bâtiment n’était pas très grand, environ huit mètres sur quatre, mais avait fière allure. Et, phénomène incroyable, il y faisait perpétuellement frais, beaucoup plus frais que dans les maisons de bois. On invita le missionnaire de Beaumont à venir visiter et consacrer le lieu, ce qu’il fit avec enthousiasme. Il promit de venir y dire une messe chaque dimanche après-midi, et il baptisa les quelques nègres qui ne l’étaient pas encore. On en profita pour célébrer les mariages de ceux qui étaient en couples illégitimes, et visiblement quelques nouveaux baptêmes se profilaient pour les mois ...
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