1. L'histoire se répète


    Datte: 28/04/2023, Catégories: fh, hplusag, couleurs, frousses, couple, grossexe, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... p’emiè’e femme blanche. Me’ci Mait’esse pou’ce cadeau…
    
    La voix de Moïse la tira de sa torpeur. Mécaniquement elle répliqua :
    
    — Pas de maîtresse, tu es un employé, tu ne m’appartiens pas.
    
    S’entendant prononcer ces mots si souvent répétés, elle se retourna vers cet amant hors normes et se maintint à genoux en saisissant les cuisses musclées, puis elle emboucha l’énorme sexe qui l’avait tant régalée, aspirant les dernières gouttes et le nettoyant des miasmes de leur étreinte. Une sorte d’hommage et de remerciement. Les yeux rougis par tant d’orgasmes successifs, elle se releva péniblement et enfila ses vêtements, il en fit de même.
    
    — Cette fois Moïse, je veux un nouveau trio, deux hommes et une femme ; toi et Joseph, pour la femme je te laisse la choisir, prends celle qui te plaît le plus.
    — Madame, je fe’ai comme tu voud’as. La seule chose impossible : je ne mett’ai pas ma queue dans la bouche d’un homme ni ent’e ses fesses.
    — D’accord, c’est promis, je ne te demanderai pas ça. Mais choisis une fille robuste, je veux montrer vos deux sexes en elle en même temps, un devant et l’autre derrière. Joseph derrière, il est un peu moins gros que toi.
    — Bien Madame.
    
    Elle courut au bord du fleuve et, comme elle était seule, s’y baigna comme pour effacer ce qui venait de se passer. Elle y resta jusqu’à la nuit et rentra dormir profondément.
    
    Moïse fit un excellent choix avec la vachère, une fille très jeune mais de constitution robuste, moins étonnante que les ...
    ... jumelles, mais assez jolie et dotée de seins magnifiques, gros, encore très fermes et très drus, oblongs comme des obus. Elle se fit un peu prier, on dut lui promettre une récompense. Les répétitions mirent les nerfs d’Alice à rude épreuve : voir cette fille se faire défoncer par ces pénis superbes, surtout celui auquel elle avait goûté, la mettait au supplice. Elle courait immédiatement après s’enfermer dans sa chambre pour se doigter comme une furie. Cette fois, elle avait prévu un décor : un fond bleu comme le ciel avec des champs peints en bas, des plaques d’herbe et un jeune arbre. Une jeune bergère, tenant dans ses bras un agneau, disait au revoir à son amoureux, Joseph, qui partait travailler aux champs, fourche sur l’épaule.
    
    Elle s’asseyait au pied de l’arbre, caressant son agneau. Surgissait un sauvage guerrier vêtu d’un pagne et la menaçant d’une sagaie. La fille terrorisée se rendait, implorait, donnait l’agneau pour tenter de sauver sa vertu, mais rien n’y faisait. Le sauvage lui arrachait son vêtement, lui pétrissait les seins, et entre les feuilles du pagne le gigantesque pénis s’érigeait progressivement. La fille fascinée ôtait le pagne et se jetait sur le sexe de l’homme, branlant suçant et faisant une branlette espagnole avec ses gros seins, ce que les jumelles ne pouvaient pas faire. Au bout d’une longue préparation, le sauvage pénétrait la fille, en levrette d’abord, puis elle lui montrait le missionnaire, et il la faisait basculer sur lui pour une chevauchée ...
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