1. L'histoire se répète


    Datte: 28/04/2023, Catégories: fh, hplusag, couleurs, frousses, couple, grossexe, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... goûter ?
    
    Voilà tout juste ce qu’il ne fallait pas faire. Car depuis le début, ce n’est pas tant le sexe des noirs qui l’attirait, mais leurs lèvres, épaisses, gourmandes, qui auguraient de plaisirs infinis. Et ce fut bien le cas. L’homme releva les cuisses en les écartant, et sa bouche épaisse vint engloutir complètement la jeune chatte excitée. Quelle sensation inouïe ! Aspiré, léché, sucé, exploré par une grosse langue fureteuse, le sexe d’Alice sonna sa première reddition, la propulsant au-delà des étoiles. Et lui qui n’arrêtait pas, fourrant sa langue soudain pointue et dure dans sa rosette, puis fouettant son petit bouton d’amour. Alice mouillait à flot continu, incapable de se maîtriser. Elle sentit bien que de gros doigts venaient participer à la fête et s’agitaient dans son ventre, créant un appel puissant et inexorable.
    
    — Viens Moïse, prends-moi, je t’en supplie, prends-moi…
    
    Le colosse se redressa et présenta son sexe devant l’étroit conduit. Il s’y enfonça avec une douceur infinie. La jeune femme gémit comme le jour où elle avait perdu son pucelage. L’énorme queue la distendait à la limite du possible et faisait son chemin dans son ventre, repoussant les muqueuses de toutes parts. Elle en suffoquait. Quand le membre eut atteint le fond de son vagin, il s’arrêta et ressortit, lui donnant la sensation que tout son ventre se retirait avec lui, aspiré par le formidable piston. Puis il revint aussitôt, provoquant un pet humide et disgracieux, mais tellement ...
    ... excitant. Et il recommença encore et encore, allant de plus en plus loin, étirant de plus en plus les chairs tendres. Quand le puissant mâle sentit que la limite était atteinte aux gémissements d’Alice, il n’insista pas outre mesure, habitué à laisser au dehors une partie de son attirail. Il se mit à la pilonner tranquillement, se penchant sur elle pour gober ses seins magnifiques. Alice sentit un ouragan de plaisir déferler en elle et ne plus la quitter. Elle entra dans un autre monde, magique, rempli de feux d’artifice, où seul son corps commandait, le cerveau totalement déconnecté. Elle se laissait aller à l’extase, poupée de chiffon entre les mains irrésistibles de son mentor. Il saisit son torse, la redressa empalée sur son obélisque, elle tourna autour de cet axe rigide et se retrouva à plat ventre sur le bureau, le ventre du colosse claquant ses fesses en cadence. Elle cramponnait les rebords du meuble qui tressautait au rythme effréné des coups de boutoir, râlant et bavant, à la limite de la perte de conscience. Puis soudain le mandrin se retira de son ventre, créant un vide insoutenable, et se posa sur son sillon fessier. Elle le sentit gonfler et palpiter, une première salve passa au-dessus de sa tête et s’écrasa mollement sur le mur, la seconde se logea dans ses cheveux, la troisième sur son dos et le reste inonda son postérieur. Elle glissa mollement sur ses genoux, toujours agrippée à la table de travail, anéantie par ce qui venait de lui arriver.
    
    — Tu es ma ...
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