L'histoire se répète
Datte: 28/04/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
frousses,
couple,
grossexe,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
historiqu,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... musculature et ses prodigieux attributs. Il était différent de Joseph dont le sexe était moins brillant, le gland plus clair, presque comme du chocolat. Là, tout était noir noir.
— Grand chef, puisque tu es baptisé, on t’a donné un nom chrétien ?
— Oui, je m’appelle Moïse.
— Alors Moïse, je peux toucher ?
— Je t’appa’tiens, Mait’esse…
Pour une fois, elle ne releva pas cette soumission déclarée, bouleversée par le projet de l’acte qu’elle allait commettre. Sa menotte tremblante s’approcha de la trompe retombant vers le sol et la caressa du bout des doigts. Son cœur tapait fort, jusque dans ses tempes. Puis elle s’enhardit et caressa la chose à pleine main, bientôt rejointe par la seconde. Quelle sensation ! Quelle douceur et quel diamètre ! Moïse ne fut pas insensible et l’incroyable serpent se redressa lentement, par petites pulsations. Les mains d’Alice ne parvenaient pas à faire le tour complet du cylindre de chair, et ses deux mains superposées étaient loin d’en couvrir toute la longueur. Elle serra, coulissa, alla soupeser les énormes testicules. Le gland désormais bien gonflé était dirigé droit vers elle, brillant de toute sa peau distendue, tandis que la hampe se couvrait de veines sinueuses. Comment résister à cet appel puissant de la nature ? Elle pensa à Norbert, lui demandant pardon d’avance pour ce qui n’était qu’une expérience, rien de plus.
— Moïse, c’est juste… pour voir, pour préparer le spectacle, rien de plus…
— Attention Mait’esse, tu sais ce ...
... que l’on dit. Une blanche qui essaye le sexe noi’ne peut plus s’en passer.
— Foutaises que tout cela…
Le gourdin était dur et brûlant entre ses mains, elle ne pouvait décemment pas le laisser ainsi. Et puis elle avait envie d’y goûter, de le serrer entre ses seins, de… son ventre se tordait d’un désir d’une violence inégalée. Inutile d’être pénétrée, juste se caresser le minou avec cet énorme gland, ce devait être délicieux. Elle se pencha et y posa un baiser, puis un autre, puis se prit à le déguster, à le lécher, à l’engloutir goulûment, bouche distendue. Quelques instants plus tard, elle avait quitté ses vêtements et se frottait comme une folle contre ce sexe insensé. Elle s’y caressa les seins, l’un après l’autre, puis remonta le long de ce torse colossal, palpant la peau d’une douceur extrême, sans poils, sentant au-dessous rouler la puissance des muscles contractés. Son pubis vint se frotter contre le membre apoplectique, elle se serra contre l’homme en l’enlaçant de ses bras. Elle se sentait petite fille dans une étreinte qu’elle n’avait jamais eue avec son père. Moïse ne disait rien, n’osait rien, se laissait seulement faire, en apparence impassible. Elle s’écarta soudain de lui, prise d’une subite décision, le prit par le sexe et recula jusqu’au bureau où elle bascula à plat dos. Puis lentement, elle fit parcourir son sillon au gland dilaté, le couvrant de la mouille qu’elle ne pouvait retenir.
— Tu as un pelage de cuiv’e maginifique, Maît’esse… Je peux le ...