Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (4)
Datte: 22/04/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... ma réponse positive, nous nous levons et longeons l’étang par la gauche. Nous parvenons sur la rive opposée, là où se trouvent deux saules pleureurs côte-à-côte.
— Comme tu le vois, ce n’est pas trop pratique pour se baigner. Il faut descendre directement dans l’eau et remonter à la force des bras. Mais pour le reste … En attendant, on va se reposer un peu.
Elle sort une grande serviette de bain du sac, l’étale et s’assoit dessus, les jambes allongées. Je me place face à elle. Sa robe déjà trop courte est encore remontée et me laisse tout voir : son entrejambe, sa chatte bien lisse. Elle voit bien où se porte mon regard :
— J’ai eu une bonne idée de mettre cette robe, n’est-ce-pas ? Ça plait aux voyeurs, comme toi ! Ça t’excite ?
— Hum … Difficile de dire le contraire. Tu montres tout … ou presque.
— Je crois que je vais la prendre pour les vacances, non ? Et si tu me vois gaie, c’est grâce à ça. J’en ai déjà bu avant de partir.
Elle tire une petite bouteille du sac : de la Becherovka, une liqueur digestive, titrant 35°. L’ayant ouvert, elle en boit une gorgée directement au goulot.
— Il ne faudrait pas que j’en abuse. Tu en veux ?
Elle me tend la bouteille et j’en bois une petite gorgée. Puis, l’ayant remis dans le sac, elle sort cette fois un paquet de cigarettes et m’en offre une. Tandis que nous fumons, elle me lance :
— Alors, ça te plait de mater ma chatte ? Tu veux que j’écarte un peu plus les cuisses ? Comme ça ?
Elle les ouvre en ...
... grand, au point que la posture en devient obscène. Du coup, je bande dur. S’en est-elle rendu compte ? Elle se lève et, sans façon, retire sa mini-robe, m’offrant la vue de son corps nu. Puis elle se rassoit :
— C’est mieux ainsi ? Je t’excite comme ça, n’est-ce-pas ?
Elle termine sa cigarette, puis s’approche de moi à quatre pattes. Je vois ses beaux seins laiteux qui se balancent :
— Tu dois bander comme un âne, hein ? Je veux voir ça.
Elle passe sa main droite sur ma braguette :
— Hum ! C’est bien dur. Je veux voir ta bite.
Je m’exécute, tout en lui disant avec une pointe d’ironie :
— Tu te rends compte que tu es toute nue, et que le saule pleureur ne nous abrite pas tant que ça. On pourrait avoir de la visite.
— Des mateurs, tu veux dire. Et ce ne sont pas eux qui nous dénonceront à la police, rassure-toi. Au mieux, ils se rinceront l’œil, au pire, si je peux dire, ils demanderont une petite gâterie.
Elle rit. Puis, se mettant à genoux face à moi, elle saisit ma bite à pleine main.
— Voilà une bonne grosse queue bien dure. J’aime les bites bien dures comme la tienne.
Je sens que la situation commence à déraper et que, visiblement, Jana se laisse aller. Alors je lui murmure :
— J’adore t’entendre dire ça … les filles qui parlent crûment, c’est excitant !
— Cochon … tu sens que je suis chaude... Mais c’est vrai que j’aime les grosses bites … et j’aurais aimé que la tienne soit un peu plus grosse, quand même.
Elle pouffe de rire, faisant ...