1. Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (4)


    Datte: 22/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... ainsi que le creux des seins. Ces mêmes seins, assez généreux, qui tendent le tissu et les tétons qui pointent. Quant à la longueur, c’est quasi ras des fesses … Je lui souris, un brin taquin :
    
    — C’est audacieux, ne trouves-tu pas ? On voittout … ou presque. De quoi attirer les mateurs.
    
    Non seulement elle se sent à l’aise, mais également bien gaie ; j’en viens à la soupçonner d’avoir bu quelque chose de fort. J’ajoute, pour lui montrer mon excitation :
    
    — En te voyant ainsi, je peux te dire que, comme ta sœur, tu es ban-dan-te ! Ah … On arrive sur la route … on va à droite maintenant ?
    
    — Oui, on tourne à droite et juste avant d’entrer dans Chvalkovice, on prendra un chemin, à gauche, qui conduit à l’étang.
    
    Nous voilà sur la route. Nous marchons lentement, sur le côté de gauche, bordé d’arbres, ce qui est bien agréable avec ce soleil qui tape. Jusqu’à présent aucun véhicule ne nous a croisés. Jana, l’air de rien, me prend la main :
    
    — Tu sais, ce n’est pas une route passante. Ceux qui l’utilisent sont du coin, où alors, des touristes qui se sont perdus ! Et toi, coquin, je vois que mes seins t’affolent toujours !
    
    Elle a vu mon regard se poser, à plusieurs reprises, sur ses seins qui se balancent doucement à chaque pas. De plus, le décolleté généreux, devient vertigineux dès qu’elle se penche.
    
    Nous n’avons pas fait attention à la voiture qui ralentit avant de s’arrêter à notre hauteur. Jana m’adresse un regard, alors que le chauffeur nous hèle :
    
    — ...
    ... Mademoiselle, la route pour rejoindre Kromeriz ? Je crois que nous sous sommes perdus.
    
    Je laisse Jana s’approcher. Comme la voiture est basse, elle doit se pencher pour parler au chauffeur. Tout cela dure une bonne minute. Durant ce temps, j’ai tout le loisir d’admirer ses fesses que la mini-robe découvre en partie. Et quand la voiture redémarre et qu’elle vient vers moi :
    
    — Des Pragois ! En plus, avec ce genre de voiture … Ce décolleté, leur offrait une belle vue … Le conducteur surtout. Il n’arrêtait pas de mater mes seins.
    
    Elle rit :
    
    — Et toi, coquin, tu as vu mes fesses, hein ? Ça t’a plu ?
    
    — Bien sûr que ça m’a plu … je peux te dire que tu as de bien jolies fesses, bien joufflues et tout !
    
    Elle me saisit la main et nous reprenons notre marche en direction de Chvalkovice.
    
    — Ah ! Nous voici arrivés à l’entrée du village ; prenons le chemin qui va sur la gauche.
    
    Nous nous y engageons et au bout de dix minutes nous arrivons sur les bords de l’étang. Il n’y a personne. Nous nous asseyons sur un vieux banc de bois. Jana me demande l’heure.
    
    — 15 h 15. Dis, tu crois qu’on peut vraiment se baigner ici ?
    
    Elle se retourne et me désigne l’étang :
    
    — Tu vois, là, on a aménagé une petite plage. Mais, si tu tiens à ce qu’on soit tranquilles, mieux vaut aller de l’autre côté …
    
    — Tranquilles ? C’est-à-dire ?
    
    Jana adopte un ton espiègle :
    
    — Si tu n’as pas de maillot … ou si tu n’as pas envie d’en mettre, par exemple. Tu veux qu’on aille voir ?
    
    Et sur ...
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