1. Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (4)


    Datte: 22/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... conversation traîne et que Jana voit bien que je mate ses jolies cuisses, dénudées quasiment jusqu’à la culotte, l’idée lui vient de proposer une promenade jusqu’à l’étang de Chvalkovice, un village à deux kilomètres d’ici.
    
    — Et une fois arrivés là, on pourra se baigner, si tu veux. Il y a comme une petite plage. Pour la suite, on verra sur place. Préparons-nous et allons-y ! Ainsi nous passerons l’après-midi, tous les deux ! Ça te va ?
    
    Elle me dit cela avec un regard plein de malice qui a le don de provoquer, chez moi, un début d’érection.
    
    Nous retournons dans nos chambres nous préparer. Dans le salon, Éva est au piano et sa tante, à côté d’elle, a l’air en extase. J’en ressors le premier, en bermuda et t-shirt. Jana quelques minutes plus tard, vêtue d’une blouse orange, très simple, boutonnée devant et arrivant à mi-cuisses. Elle tient un sac en toile dans la main.
    
    — J’ai apporté de quoi boire ainsi que le maillot et des serviettes. Mets le tien dans mon sac. Tu es prêt, je vois. Allons-y !
    
    Et comme je lui prends le sac des mains :
    
    — Ah, la galanterie … il n’est pas trop lourd, au moins ?
    
    — Qu’est-ce que tu as mis dedans ? Ça doit faire bien deux ou trois kilos !
    
    — Ben, les maillots, les serviettes, une thermos, et d’autres petites choses. Tu verras …
    
    Il est près de 14 h 30 quand nous quittons la maison. Une fois contourné le pâté de maison, et franchi le passage à niveau, nous nous engageons sur le chemin qui borde les jardins à notre gauche. ...
    ... Jana donne quelques précisions :
    
    — Au bout du chemin, il y a une route qui mène au village de Chvalkovice. L’étang est à cinq cents mètres à gauche avant d’entrer au village.
    
    Puis, elle me fait ouvrir le sac et en sort deux casquettes en toile.
    
    — Tiens, mets donc ça ; avec ce soleil c’est plus prudent.
    
    Maintenant que nous avons dépassé les jardins, nous marchons sur un chemin de terre, avec des champs de chaque côté. Nous voilà seuls, dans un silence presque absolu. Alors que nous approchons d’un panneau de signalisation, annonçant un carrefour, Jana s’arrête.
    
    — Tu permets ? Je commence à avoir chaud, moi.
    
    Et je la vois déboutonner sa mini-robe.
    
    — Hé ! Tu vas te mettre toute nue ? Comme ça ?
    
    Quand elle l’ouvre, apparaît une robe débardeur de couleur jaune, ultra- courte avec un décolleté arrondi. Je suis plutôt surpris :
    
    — Tu as mis deux robes l’une sur l’autre ? Pas étonnant que tu aies chaud !
    
    — Cette robe, je l’avais achetée en Yougoslavie, durant les vacances, il y a deux ans, sur un marché. Elle me plaisait et, semble- t-il, m’allait bien. Mais une fois lavée, déception ! Elle avait quelque peu rétrécie, et ma mère a tiqué : elle la trouvait beaucoup trop courte et trop décolletée. Même moi, j’ai hésité à la mettre. Finalement, elle est restée dans le placard de ma chambre. Et là, je me suis dit que c’était une occasion de la porter.
    
    Maintenant, la voici avec cette micro-robe jaune, au décolleté ravageur découvrant largement les épaules ...
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