Mariage ducal - Histoires de Sexe

Mariage ducal

... jour. Je vous propose de vous y restaurer et aussi de vous y reposer. Vous partirez demain matin, frais et reposés, nos pères peuvent bien attendre un peu.
— Comme vous voudrez, Messer.

Un peu plus tard, nous arrivons dans le petit castel d’un ami qui nous héberge pour la nuit. Je devise avec lui une bonne heure avant d’aller rejoindre ma chambre en compagnie de ma future épouse. À peine la porte refermée derrière moi, j’enlace prestement ma nouvelle fiancée.

Mutine, Mirabella me demande :

— N’attendez-vous point les noces pour me consommer ?
— Désolé pour vous, mais tout à l’heure, dans la cellule, vous m’avez trop allumé pour que ma flamme s’éteigne ! Je reconnais que l’envie de vous faire un enfant sur place m’a largement traversé l’esprit…
— Et vous souhaitez le faire tout de suite ?

Mes mains autour de sa taille, je la presse contre moi :

— Vous faire subir la façon dont on le fait, oui. En avoir un, un peu moins… Je préfère prendre mon temps à goûter longuement à vos charmes, avant que vous ne soyez mère.
— Je comprends votre point de vue, d’autant qu’il est le mien… Vous pouvez envahir ma citadelle sans crainte, car j’aurai ce que vous savez dans les prochains jours.
— Vous parlez de rivières pourpres, je suppose ?
— Vous supposez bien…
— Dans ce cas, chère Mirabella, vous allez subir de ma part le feu ardent dans lequel vous me plongez !

Provocante, elle me répond :

— J’espère que votre feu ne sera pas de paille, car au couvent, mis ...

... à part les bougies, je n’ai pas eu beaucoup de chaleur et de joie…
— Savez-vous que vous êtes une délicieuse petite perverse ?

Puis je l’embrasse et je m’embrase. Elle répond sans hésitation à mes baisers. Il est vrai que la donzelle a été privée lors de sa captivité au couvent. Et peut-être est-ce sa façon de me remercier. Peut-être aussi que je lui plais. Moi, j’ai franchement envie d’elle et je ne suis pas en état de jouer les philosophes !

Très vite, nous sommes nus, entremêlés dans le lit. La demoiselle est très réceptive à mon désir, ne cherchant nullement à cacher le sien, ayant sans aucun doute des mois d’abstinence à rattraper. J’espère me montrer à la hauteur de sa fringale. Une femme qui en veut est toujours nettement plus excitante qu’une dame qui se laisse faire, fût-elle plus belle que Vénus.

Très vite, je me retrouve entre ses jambes, j’ai trop envie de goûter aux charmes de ma future femme. Celle-ci ne s’y oppose absolument pas, je dirais même qu’elle réclame son dû ! Je m’en voudrais de ne pas exaucer le souhait d’une Dame, et je compte bien m’y reprendre à plusieurs fois !

Assez fébrile, je pointe mon dard sous son petit bosquet. Vicieusement, je titille de mon gland le haut de ses lèvres déjà bien humides. Elle soupire d’aise. Alors je décide de frotter la courbe de ma tige dans la fente offerte, astiquant ainsi délibérément un clitoris en feu !

— Oooh ! Oooh hmmm ! Vous au moins, vous savez vous servir de votre vit !
— Merci de me le ...