Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (2) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (2)

PRÉSENTATION DES PERSONNAGES

Moi-même : Tennessee (18 ans)

Ma mère : Justine (47 ans)

Mes sœurs : Satyne (18 ans), Judie (20 ans), Marie (23 ans)

Les amies de Marie: Zoé (22 ans), Claire (24 ans)

Anna (42 ans) etses deux filles : Yana (18 ans), Lila (22 ans)

Chéryl (18 ans), Rose (18 ans), Noémie (19 ans), Lou (21 ans), Katie (29 ans), Louna (37 ans)

JOUR 1

Nous étions tous réunis autour de la table de la mairie. Ma mère, Satyne et Judie avaient pris place autour de moi. Ma dernière sœur s’était quant à elle installée avec ses deux copines Zoé et Claire. À l’autre bout de la table se tenait Anna, entourée de ses deux filles rousses. Les dernières filles s’étaient mélangées assez aléatoirement.

Voyant que tout le monde était assis, ma mère prit la parole :

— Il va falloir s’organiser et diviser les tâches.

Marie et Satyne ! Emmenez Zoé, Claire, Chéryl et Rose ! Vous allez partir en mission. Il faut que vous rameniez tout ce qui pourrait être utile ici : nourriture non périssable, médicaments, eau en bouteille, armes...

Judie, Noémie, Louna et Lou ! Vous partirez à la recherche de combustibles comme du gaz ou des granulés de bois.

Anna ! Je veux que tu emmènes tes filles et Katie, et que vous trouviez des moyens de communication sur ondes radio. Nos téléphones portables ne seront plus d’une grande utilité avec des lignes téléphoniques HS, faute d’électricité.

Elle se tourna ensuite vers moi.

— Tennessee et moi, nous allons chercher ...

... une maison assez grande pour que nous puissions tous y habiter.

Retour à dix-sept heures pétantes ici même !

Une dernière chose : vous pouvez prendre les voitures dans la rue, il suffit d’aller récupérer les clés dans les maisons des propriétaires. Ils ne nous en voudront pas, j’en suis sûre !

En quelques minutes, chacun avait compris sa mission et avait quitté la mairie. Il ne restait plus que ma mère et moi. J’enfilai rapidement un manteau et nous sortîmes à l’aventure.

Une fois dans la voiture de ma mère, je mis ma ceinture par sécurité. Ça serait quand même stupide de mourir dans un accident après ce qui venait de se passer !

Nous roulâmes quelques minutes tout en scrutant les habitations qui nous entouraient. Rien d’assez grand pour contenir une douzaine de personnes jusqu’ici. Mais où trouver une maison aussi vaste ? Une idée effleura mon esprit.

— Va dans le quartier chic de la ville, maman. Il y aura sûrement des grosses villas avec des jardins gigantesques, disais€-je.

— Bonne idée !

Elle écrasa le champignon et nous y étions cinquante secondes plus tard. Comme on pouvait s’y attendre, le quartier chic était très bien entretenu. Pas un tag, pas de trous dans la chaussée...

Néanmoins, la plupart des maisons étaient grandes, mais pas assez pour accueillir notre petit groupe. Nous allions définitivement faire demi-tour quand nous arrivâmes au bout de la rue dans un cul-de-sac.

Une immense villa de quatre étages nous faisait face, derrière ...