1. Séduction, amour et soumission (8)


    Datte: 19/04/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... son bouton, un de mes doigts pris possession de son anus.
    
    Ce premier cunni, ce soir où nous avions tant de désirs accumulés, nous mena rapidement vers la jouissance.
    
    Son visage collé à ma vulve était immobile. Je me déplaçai pour reprendre nos baisers. J’en couvris son visage, ce visage dont chaque centimètre portait mon odeur. Mes mains sur ses seins, je la caressai, pris possession de ses tétons qui roulaient, durcis entre mes doigts. Elle se libéra avec douceur de notre baiser pour me chuchoter :
    
    « Tu peux utiliser les pinces si tu en as envie »
    
    Cette invitation en disait long sur son cheminement et, je l’imaginais, sur l’éducation virtuelle qu’elle s’était imposée.
    
    Posées sur ses seins et sa chatte, je jouais avec les pinces. Allongée, cuisses écartées, offerte et abandonnée, Leyla subissait sans un mot mes cruelles caresses. Je me laissai aller à faire durer le jeu, à le faire empirer en tirant sur les chaînettes qui liaient chaque paire jusqu’à ce qu’elle me dise : « J’ai très mal ».
    
    Une fois retirées, je la massai longuement.
    
    « J’avais mal mais tu aurais pu encore les laisser ; j’aime avoir mal pour te faire plaisir. »
    
    Je la pris dans mes bras. C’était assez pour un premier soir ; il y en aurait d’autres.
    
    « Je te ferai progresser mais allons-y par étapes. Ce soir nous allons faire l’amour comme deux amoureuses, très coquines. »
    
    « Marianne, je crois que je t’aime.
    
    - Ma Leyla, j’attendais tes mots. Moi aussi je t’aime et j’ai envie de ta chatte et de ton cul.
    
    « Ils sont à toi, fais ce que tu veux »
    
    J’avais moi aussi envie qu’elle me prenne. Je m’assis sur son visage pour sentir sa bouche ; elle écarta mes fesses et sa langue durcie, poussait dans mon petit trou.
    
    Inlassablement cette nuit-là nos doigts, nos godes, nous prirent encore et encore, partout ; nous étions arrivées à ce stade du dérèglement des sens si cher à Baudelaire.
    
    Il était tard, très tard, lorsque nous nous endormîmes.
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