Séduction, amour et soumission (8)
Datte: 19/04/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... que Leyla avait exprimé, celui de vénérer, sans limites le sexe de sa « maitresse » … à venir, moi, j’avais exhumé de mon tiroir une culotte de latex noir très moulante, échancrée sur les fesses et fermée devant par des boutons de pression. Je la portai dès le jeudi matin. Pas forcément confortable, elle avait le mérite de me permettre de prendre une douche avec. Par discrétion je m’habillai d’un tailleur foncé pendant les deux jours précédant notre soirée. Vendredi, la perspective de tenir Leyla dans mes bras, voire à ma merci, troubla ma concentration toute la journée et la chaleur de cette fin de juillet comme l’excitation se ressentait entre mes cuisses. Poussée par le vice comme par la provocation, je partis aux toilettes où, après avoir défait les pressions, je plongeai un doigt dans mon intimité. De retour dans les bureaux, je proposai innocemment à Leyla de m’accompagner pour prendre un café. Dans la cafétéria déserte, je préparai les breuvages tout en bavardant avec elle. Lorsque je lui tendis sa tasse, je plaçai ostensiblement mon doigt coupable près de son visage. Elle me regarda fixement, luttant pour ne pas aller plus loin ; de ses lèvres, sans bruit elle mima un merci répété plusieurs fois.
Une fois retournées devant nos écrans, je reçus un texto : « Tu es tellement vicieuse ! J’aime ça ! »
Ce soir-là je partis la première. J’achetai de quoi dîner et mis du champagne au frais ; je voulais surtout choisir les jouets à utiliser. Ne pas l’effrayer mais quand ...
... même, il fallait qu’elle entrevoie ce qui l’attendait. Tout d’abord, ce qu’elle connaissait, godes et plugs, puis ceux qu’elle avait vu, certains en tous cas, mais que je n’avais pas encore utilisé avec elle, pinces, poids, martinet, cravache, pompe… Je n’allais pas forcément m’en servir mais je les voulais présents.
Je mis une jupe courte et transparente pour l’accueillir ; elle, venait directement du bureau.
Lorsqu’elle arriva, après ces longs jours sans avoir pu se toucher si ce n’est notre baiser mercredi soir, nos corps étaient comme aimantés. Nos bouches collées, enserrées dans les bras l’une contre l’autre presque à s’étouffer, nous nous embrassions passionnément. Déjà ma langue glissait dans sa bouche comme si je l’avais pénétrée.
« Avant de prendre un verre, je veux que tu viennes voir ce que j’ai préparé dans la chambre »
Je l’entraînai. La précédant, elle ne pouvait que deviner et être intriguée par la silhouette foncée de ma culotte que ma jupe laissait entrevoir. Je la laissai découvrir l’équipement posé sur le lit.
De son air qui ne trahissait aucune surprise, elle me regarda, plongea une main dans son sac pour en sortir, sans un mot, un collier qu’elle me tendit. Elle s’agenouilla, baissa la tête pour que je fixe son nouvel ornement. Je pris une laisse, la crochetai dans le collier et l’invitai à me suivre au salon.
Passé ce premier moment, chargé d’intensité, je l’installai par terre sur un coussin. Assise dans un fauteuil lui faisant face, ...