Séduction, amour et soumission (8)
Datte: 19/04/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... j’ouvris le champagne. Sous l’effet des bulles, nos paroles se voulaient légères, elles se libérèrent, chacune sachant que les coupes bues, nous entrerions ce soir dans une autre vie. Il lui fallait ça, curieusement à moi aussi ; quoi de plus fragile et de plus anxieuse qu’une dominatrice amoureuse !
Les verres vides posés, j’ouvris les jambes en la regardant.
« Déshabille-toi ». Sans hâte, presque lascivement, Leyla se débarrassa de ses vêtements. Nue, debout, elle me tendit la laisse que je saisis et d’une traction que je lui imprimai, elle vint s’agenouiller devant moi. J’ouvris une à une les pressions de la culotte et vins m’assoir au bord du fauteuil.
Elle répondit à cette invitation en posant les mains sur mes genoux qu’elle écarta avant de plonger son visage entre mes cuisses. De longues respirations précédèrent ses mots. D’une voix étouffée, comme une supplique, je l’entendis me dire :
« Je te voudrais toujours comme ça ! Je suis là pour ça, j’aime tout de ta chatte, tout, sa forme, son goût, son odeur, ses fluides, tout et moi je suis à toi. »
Je ne m’attendais pas déjà à tant de passion ni à entendre Leyla prononcer un tel crédo. Je partageais cette passion à ce moment précis.
« Viens ma soumise, c’est pour toi que j’ai préparé ma chatte »
Je la sentis d’abord frotter doucement son visage, ses lèvres, son nez, ses joues comme pour s’approprier ce sexe, ce sexe qui serait son unique horizon.
Ses caresses se firent ensuite plus précises ...
... tandis que je portai ses mains sur mes seins. Encore sous le coup de sa déclaration, je me laissai faire, jusqu’à un certain point. Je ne voulais pas jouir sans elle.
Je me levai la laisse à la main ; d’elle-même elle se mit à quatre pattes et c’est ainsi qu’elle me suivit jusqu’à la chambre.
Un désir de frustration me traversa. Toujours à quatre pattes, Leyla me regardait en attente. Je m’allongeai cuisses écartées, les jambes pendantes et je me caressai devant elle. Lorsqu’elle fit mine de s’approcher, je lui ordonnai de ne pas bouger. Mes caresses étaient légères, je ne cherchais qu’à lui faire envie. Lorsque je soulevais le buste, je la surpris à se caresser.
« Je t’ai autorisée à te caresser ? »
- Euuuh, non, je suis désolée
-Tu ne dois rien faire sans que je ne te l’aie dit, tu as compris ?
-Oui Marianne, encore désolée.
-Viens t’allonger sur mes cuisses.
Je passais ma main le long de son dos, caressai ses fesses l’une après l’autre pour ensuite saisir chacun de ses globes fermement. Mes doigts se firent insistants et, enfin ma main commença à s’abattre sur son cul. Je mesurai mes coups mais je la fessai suffisamment longtemps pour le voir rougir.
Lorsque je la libérai, quelques larmes perlaient. Elle baissa la tête pour dire : « Merci Marianne »
Il était temps de se donner du plaisir. Nous le fîmes têtes incrustées entre nos cuisses. Ses lèvres elles aussi étaient humides. Je l’écartai pour étaler ma langue de haut en bas, puis, concentrée sur ...