1. Hommage à Lovecraft (2)


    Datte: 17/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Dante67, Source: Xstory

    ... l’air, celui-ci se transforme en fièvre à mesure que je l’avale. Ma poitrine cogne fort, trop fort, et mes mains tremblent. Je réalise que je ne contrôle plus mes mouvements. Une envie bestiale s’empare de moi. Je me sens devenir un berserker de l’obscénité, et une soudaine envie de violence – comme je n’en avais jamais ressenti – s’empare de mes membres comme un poison se répandant dans mes veines.
    
    Je lui saisis à mon tour les cheveux d’une main tandis que j’enlace sa gorge de l’autre. Je l’agrippe avec force et la tire d’un coup violent sur ma queue. Je sens le fond de son vagin, mais je continue sans pouvoir me contrôler à tirer encore plus fort, jusqu’à sentir une douleur sur mon gland, sans que celle-ci ne m’arrête. J’aurais voulu à cet instant l’empaler, sans comprendre pourquoi.
    
    Je la baise avec des coups de reins qui ressemblent à des coups de poing. Je la baise comme si elle était un mur à traverser. Je la baise comme si ma vie en dépendait. Porté par une force que je n’imaginais pas avoir, je la soulève par les hanches et continue à la prendre frénétiquement. Mes testicules sont endoloris à force de claquer contre son clitoris. J’avance une jambe sur le côté près de sa tête pour pouvoir m’insérer davantage au plus profond de sa chair. Elle crie comme une possédée, et ses cris me bercent tels des chants de sirènes au milieu de la tempête, m’encourageant à poursuivre.
    
    Et je jouis. Cela ne m’arrête pas. Cela ne me freine même pas. Je continue mes va-et-vient ...
    ... brutaux tandis que je me déverse à chaque coup de reins, et je continuais encore et encore. J’en souffre, j’en exulte !
    
    A-t-elle joui ? Si oui, l’a-t-elle fait plusieurs fois ? Je n’en ai aucune idée. À cet instant, je suis un monstre, je suis un ogre, et je ne me l’explique pas.
    
    Tout à coup, je la retourne sur le dos et la fais glisser contre moi par les hanches. Je lui écarte les cuisses et reprends mon œuvre. Sous cet angle vertical, mes coups sont plus durs encore, et nous malmenons ce lit, témoin malgré lui d’une violence obscène et animale.
    
    Un premier craquement : une première latte du sommier vient de céder, rapidement suivie par deux autres.
    
    — Brise-moi ! Ravage-moi !
    
    Je lui empoigne un sein comme s’il s’agissait d’une prise pour mieux la tirer à moi. Je glisse deux doigts dans sa chatte débordante et poursuis mes va-et-vient. Je sens ma queue glisser sur le dos de mon majeur et de mon index : je comprends que je me caresse en elle. Je m’arrête un instant et la fais tourner comme une toupie pour venir baiser sa bouche dans le sens de sa gorge tandis que j’applique ma main sur sa vulve que je découvre blanchie par une écume de sperme et de cyprine. L’onction lubrifie mes doigts, ma paume et mon poignet, et je m’enfonce en elle, le poing fermé d’un côté, et jusqu’à ce que mes couilles se posent sur son visage de l’autre.
    
    À bien y songer, cela relève du miracle qu’elle ne s’étouffe pas avec mon membre dans sa gorge. Je frappe littéralement ses organes de ...
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